La popularité de Macron chute à son plus bas en un an après l’extension du passe sanitaire
Encore une pls pour Macron, el famoso président bon à l'international..
Macron incapable de régler le problème des pêcheurs..
obligé de faire le clébard et de mendier à Bruxelles..
et il veut prendre la tête de L'UE
Licences de pêche post-Brexit : le Royaume-Uni refuse la « date butoir » du 10 décembre, censée régler le litige avec la France
Juste avant qu’Emmanuel Macron ne dénonce à nouveau « les relations difficiles » entre les deux pays, Londres affirmait ne pas tenir compte de l’échéance fixée par la Commission européenne.
En vertu de l’accord validé il y a onze mois entre Londres et Bruxelles, les pêcheurs européens peuvent continuer à travailler dans les eaux du Royaume-Uni à condition de pouvoir prouver qu’ils y pêchaient auparavant. Mais Français et Britanniques se dishappistent sur la nature et l’ampleur des justificatifs à fournir. SAMEER AL-DOUMY / AFP
Onze mois après la signature post-Brexit, et après de nombreux incidents et menaces des deux côtés de la Manche, le différend franco-britannique sur les licences accordées aux pêcheurs français ne semble pas se diriger vers une résolution, malgré l’implication des instances européennes.
Le porte-parole du premier ministre britannique, Boris Johnson, a déclaré, jeudi 9 décembre, que son pays ne reconnaissait pas la « date butoir » du 10 décembre, fixée par la Commission européenne pour obtenir une sortie de crise. « Ils en ont fixé une, mais ce n’est pas celle sur laquelle nous travaillons. Il y a un processus technique qui se poursuit, basé sur des preuves plutôt que sur des dates butoirs », a-t-il précisé.
Quelques minutes après ces déclarations, Emmanuel Macron, qui exposait le programme de la future présidence française du Conseil de l’Union européenne, a évoqué « les relations difficiles » entre les deux pays, qui « sont difficiles parce que le gouvernement actuel, jusqu’à présent, ne fait pas ce qu’il dit ». C’est notamment le cas dans le dossier des licences. « Il a signé un accord de retrait, qui impose sur la pêche de tenir vis-à-vis de nos pêcheurs professionnels des engagements », a-t-il maintenu.
Annick Girardin, ministre française de la mer, a prévenu que si toutes les licences de pêche encore réclamées n’étaient pas accordées d’ici à vendredi soir, la France demanderait un arbitrage au niveau européen « pour constater le non-respect de sa signature par le Royaume-Uni » et irait « au contentieux ». Après plusieurs semaines de tensions, elle juge désormais que la France et la Commission sont « totalement sur la même ligne » dans ce dossier.
Lire le reportage : Article réservé à nos abonnés « Jersey est au milieu d’une bataille qui la dépasse » : l’île anglo-normande dans l’incertitude des tensions sur les licences de pêche
104 licences en jeu et la possibilité de « sanctions » qui émerge
En vertu de l’accord validé il y a onze mois entre Londres et Bruxelles, les pêcheurs européens peuvent continuer à travailler dans les eaux du Royaume-Uni à condition de pouvoir prouver qu’ils y pêchaient auparavant. Mais Français et Britanniques se dishappistent sur la nature et l’ampleur des justificatifs à fournir.
Le Royaume-Uni refuse notamment la mise en place d’une méthodologie claire permettant d’accorder les licences. Les Britanniques ont introduit de nouvelles conditions, absentes de l’accord de commerce et de coopération. Par exemple, ils exigent une preuve par le biais de la géolocalisation. Mais les preuves demandées sont difficiles à fournir pour la plupart des petits navires.
Après des mois de négociations, le différend porte désormais sur 104 licences, selon le gouvernement français. Au total, 1 004 ont été accordées par les Britanniques, mais il en manque encore 53 dans la zone des 6-12 milles britanniques et 51 qui dépendent des autorités de l’île de Jersey. « Ce n’est pas anecdotique, a défendu Annick Girardin, c’est capital : ce sont des pêcheurs, des familles. Un emploi en mer, c’est quatre emplois à terre. »
S’il n’y a jamais eu de confrontation, les actions et l’exaspération, surtout côté français, ont rapidement fait leur apparition : d’abord un blocus de Jersey par les pêcheurs français en mai, avec l’envoi de deux patrouilleurs britanniques en réponse ; une inflation des menaces françaises de sanctions en octobre ; et plus récemment le blocage par les pêcheurs français de ports et du terminal de fret du tunnel sous la Manche. Désormais, selon Mme Girardin, on pourrait entrer sur le terrain « des sanctions » : « C’est la Commission qui portera le contentieux et les mesures de rétorsion, si elles devaient être mises en application. »
C'est totalement faux ! D'ailleurs il est bien installé avec ses 23 %. En ce contexte de présidentielle très particulière , je vous propose ici du contenu vidéo qui pourrait intéresser les français comme vous, qui sont de l’étranger ou de l’université et qui répond sur certaines questions ou simplement permettre de suivre certains sujets tout en étant hors de France.
Bien entendu, vos commentaires sont les bienvenus
J’espère que ça vous intéressera !
https://www.youtube.com/watch?v=0uasnN_5TrA&ab_channel=LeRudius
Extension du passe sanitaire !!!
Sinon plus sérieusement cet homme est un danger pour le peuple français
Le 14 août 2021 à 20:00:05 :
Chirac Sarko Hollande, avaient des français qui avaient une opinion défavorable sur eux.Macron lui est juste haït, on ressent une haine viscérale à son égard, aucun autre président n'avait été à ce point HAÏT
t oublie hollande et valls
Popularité en légère hausse à 41% d'opinions favorables pour Macron
Personne soutient macron, que ce soit les jeunes, les vieux, les gauchix, les droitix, les écologistes, les prolix, la classe moyenne, les cathos, les muzz, personne le soutient et il continue de monter dans les sondages, et ce malgré la montée de Pecresse qui est exactement sur la même ligne
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- 14 août 2021 à 13:58:10
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