AYAAAAAAAAA l'article de Konbini sur Kaamelot bordel

Le 13 août 2021 à 16:38:26 :

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En soi, son analyse sur la socialisation et sur les représentations de l'auteur n'est pas erronée. Seulement, elle oublie de prendre en compte le contexte de son œuvre et de sa création.

Elle est complètement à côté de plaque, la fiction n'a jamais eu pour vocation de "représenter" les gens.

Pour ces acteurs et ces actrices de la mouvance féministe, le problème n'est pas là. Ce qu'ils considèrent, c'est que toute œuvre est le reflet des représentations de son auteur et de son époque. Comme ce qu'elles voient ne correspond pas à leurs schèmes, elles produisent ce genre de critiques.

Oui c'est vrai, mais c'est un aspect de la question; parce qu'il y a un mantra chez les wokes qui revient souvient, c'est de dire que la représentation est importante. Et c'est pour ça que depuis quelques années, on a de plus en plus de castings calibrés multiethniques, avec un acteur pour représenter chaque ethnie.

Ce qui donne ça:

Crois-moi, je suis la première à en être désolée. Peut-être qu'il faut passer par ce mouvement absurde pour rétablir un juste équilibre à l'avenir ; c'est-à-dire un équilibre qui ne soit pas forcé et qui ne nuise pas aux œuvres comme c'est trop souvent le cas ?

Ça c'est considérer qu'avant ce mouvement il y avait un "déséquilibre", ce que je ne pense pas.

Est-ce que tu es une femme ? Est-ce que tu es racisé ? Est-ce que tu fais partie de la communauté LGBTQI+ ? C'est humain que de vouloir être représenté dans la société. Ce "déséquilibre" est vécu comme une invisibilisation qui nie l'existence et l'importance des individus. Au final, ces processus qui relèvent du déni de reconnaissance aboutissent à la situation que nous vivons avec la démocratie représentative.

ah parce que faut être une femme racisee lgbt pour avoir le droit de s'exprimer?

Ce n'est pas ce que je voulais dire, pardonne-moi si je t'ai donné cette impression. Seulement, certaines souffrances ne sont pas intelligibles pour tous (et ça fonctionne dans les deux sens).

Crois-moi, je suis la première à en être désolée. Peut-être qu'il faut passer par ce mouvement absurde pour rétablir un juste équilibre à l'avenir ; c'est-à-dire un équilibre qui ne soit pas forcé et qui ne nuise pas aux œuvres comme c'est trop souvent le cas ?

Un équilibre sous entend qu'il puisse y avoir un déséquilibre, hors déséquilibre et oeuvre artistique c'est totalement contradictoire.

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En soi, son analyse sur la socialisation et sur les représentations de l'auteur n'est pas erronée. Seulement, elle oublie de prendre en compte le contexte de son œuvre et de sa création.

Elle est complètement à côté de plaque, la fiction n'a jamais eu pour vocation de "représenter" les gens.

Pour ces acteurs et ces actrices de la mouvance féministe, le problème n'est pas là. Ce qu'ils considèrent, c'est que toute œuvre est le reflet des représentations de son auteur et de son époque. Comme ce qu'elles voient ne correspond pas à leurs schèmes, elles produisent ce genre de critiques.

Oui c'est vrai, mais c'est un aspect de la question; parce qu'il y a un mantra chez les wokes qui revient souvient, c'est de dire que la représentation est importante. Et c'est pour ça que depuis quelques années, on a de plus en plus de castings calibrés multiethniques, avec un acteur pour représenter chaque ethnie.

Ce qui donne ça:

Crois-moi, je suis la première à en être désolée. Peut-être qu'il faut passer par ce mouvement absurde pour rétablir un juste équilibre à l'avenir ; c'est-à-dire un équilibre qui ne soit pas forcé et qui ne nuise pas aux œuvres comme c'est trop souvent le cas ?

Ça c'est considérer qu'avant ce mouvement il y avait un "déséquilibre", ce que je ne pense pas.

Est-ce que tu es une femme ? Est-ce que tu es racisé ? Est-ce que tu fais partie de la communauté LGBTQI+ ? C'est humain que de vouloir être représenté dans la société. Ce "déséquilibre" est vécu comme une invisibilisation qui nie l'existence et l'importance des individus. Au final, ces processus qui relèvent du déni de reconnaissance aboutissent à la situation que nous vivons avec la démocratie représentative.

Ce genre de revendications identitaires n'avait strictement aucune importance avant le mouvement woke et va à l'encontre de ce qu'est supposé être la fiction, qui est de te permettre justement de t'identifier à des gens qui ne te ressemblent pas.

Gamin je n'ai jamais eu de mal à m'identifier à Arnold et Willy ou Punky Brewster, pas plus que je ne me sens "représenté" par Indiana Jones ou James Bond.
La fiction repose aussi sur la représentation du réel... est-ce qu'un groupe d'amis blancs comme dans Friends te paraitrait invraisemblable dans la réalité? Est-ce que l'univers va s'effondrer si il n' y a pas un personnage LGBT dans un film?

Est-ce qu'on ne pourrait pas retrouver l'innocence de l'époque où les gens se rassemblaient autour d'un bon film en se contrefichant de ces délires identitaires?
https://twitter.com/starwarspassion/status/1362069295434407937

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En soi, son analyse sur la socialisation et sur les représentations de l'auteur n'est pas erronée. Seulement, elle oublie de prendre en compte le contexte de son œuvre et de sa création.

Elle est complètement à côté de plaque, la fiction n'a jamais eu pour vocation de "représenter" les gens.

Pour ces acteurs et ces actrices de la mouvance féministe, le problème n'est pas là. Ce qu'ils considèrent, c'est que toute œuvre est le reflet des représentations de son auteur et de son époque. Comme ce qu'elles voient ne correspond pas à leurs schèmes, elles produisent ce genre de critiques.

Oui c'est vrai, mais c'est un aspect de la question; parce qu'il y a un mantra chez les wokes qui revient souvient, c'est de dire que la représentation est importante. Et c'est pour ça que depuis quelques années, on a de plus en plus de castings calibrés multiethniques, avec un acteur pour représenter chaque ethnie.

Ce qui donne ça:

Crois-moi, je suis la première à en être désolée. Peut-être qu'il faut passer par ce mouvement absurde pour rétablir un juste équilibre à l'avenir ; c'est-à-dire un équilibre qui ne soit pas forcé et qui ne nuise pas aux œuvres comme c'est trop souvent le cas ?

Ça c'est considérer qu'avant ce mouvement il y avait un "déséquilibre", ce que je ne pense pas.

Est-ce que tu es une femme ? Est-ce que tu es racisé ? Est-ce que tu fais partie de la communauté LGBTQI+ ? C'est humain que de vouloir être représenté dans la société. Ce "déséquilibre" est vécu comme une invisibilisation qui nie l'existence et l'importance des individus. Au final, ces processus qui relèvent du déni de reconnaissance aboutissent à la situation que nous vivons avec la démocratie représentative.

ah parce que faut être une femme racisee lgbt pour avoir le droit de s'exprimer?

Ce n'est pas ce que je voulais dire, pardonne-moi si je t'ai donné cette impression. Seulement, certaines souffrances ne sont pas intelligibles pour tous (et ça fonctionne dans les deux sens).

Certaines souffrances ? Les souffrances des uns sont censés faire ployer les oeuvres des autres ?

Rien n'empêche les personnes en souffrances de suivre une thérapie et si ça leur suffit pas de réaliser leurs propres oeuvres essentielles pour panser leurs terribles blessures mais ils n'ont pas à imposer leur absurdité aux autres.

Le 13 août 2021 à 16:41:30 :

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En soi, son analyse sur la socialisation et sur les représentations de l'auteur n'est pas erronée. Seulement, elle oublie de prendre en compte le contexte de son œuvre et de sa création.

Elle est complètement à côté de plaque, la fiction n'a jamais eu pour vocation de "représenter" les gens.

Pour ces acteurs et ces actrices de la mouvance féministe, le problème n'est pas là. Ce qu'ils considèrent, c'est que toute œuvre est le reflet des représentations de son auteur et de son époque. Comme ce qu'elles voient ne correspond pas à leurs schèmes, elles produisent ce genre de critiques.

Oui c'est vrai, mais c'est un aspect de la question; parce qu'il y a un mantra chez les wokes qui revient souvient, c'est de dire que la représentation est importante. Et c'est pour ça que depuis quelques années, on a de plus en plus de castings calibrés multiethniques, avec un acteur pour représenter chaque ethnie.

Ce qui donne ça:

Crois-moi, je suis la première à en être désolée. Peut-être qu'il faut passer par ce mouvement absurde pour rétablir un juste équilibre à l'avenir ; c'est-à-dire un équilibre qui ne soit pas forcé et qui ne nuise pas aux œuvres comme c'est trop souvent le cas ?

Ça c'est considérer qu'avant ce mouvement il y avait un "déséquilibre", ce que je ne pense pas.

Est-ce que tu es une femme ? Est-ce que tu es racisé ? Est-ce que tu fais partie de la communauté LGBTQI+ ? C'est humain que de vouloir être représenté dans la société. Ce "déséquilibre" est vécu comme une invisibilisation qui nie l'existence et l'importance des individus. Au final, ces processus qui relèvent du déni de reconnaissance aboutissent à la situation que nous vivons avec la démocratie représentative.

ah parce que faut être une femme racisee lgbt pour avoir le droit de s'exprimer?

Ce n'est pas ce que je voulais dire, pardonne-moi si je t'ai donné cette impression. Seulement, certaines souffrances ne sont pas intelligibles pour tous (et ça fonctionne dans les deux sens).

Tout le monde peut s'identifier à n'importe qui, arrêtons l'arnaque de la représentativité ; je peux te sortir des tas d'exemples anciens ou des premiers rôles ont été tenus par ce que vous considérez comme une "minorité" et auquel le public a adhéré ; par contre je concède qu'il n'y a pas eu beaucoup de premiers rôles noirs en France avant Omar Sy, mais ça c'est juste une histoire de changement démographique, c'est juste parce qu'il y avait peu d'africains sur le territoire français il y a 50 ans

Le 13 août 2021 à 15:49:28 :

Le 13 août 2021 à 15:47:44 :
Plus grand succès de cette année au cinéma nonobstant, ça doit leur faire mal

c'est nofake ?

ca veu rien dire on est en covid, les cinémas étaient fermé je le rappel y'a eu quasi 0 film. et avec le pass les cinéma font peu d'entrée. donc pas la peine de vérifier il a p e fait pas mal d entrée comparé a d autre cette année mais surement tres peu comparé au année antérieur

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En soi, son analyse sur la socialisation et sur les représentations de l'auteur n'est pas erronée. Seulement, elle oublie de prendre en compte le contexte de son œuvre et de sa création.

Elle est complètement à côté de plaque, la fiction n'a jamais eu pour vocation de "représenter" les gens.

Pour ces acteurs et ces actrices de la mouvance féministe, le problème n'est pas là. Ce qu'ils considèrent, c'est que toute œuvre est le reflet des représentations de son auteur et de son époque. Comme ce qu'elles voient ne correspond pas à leurs schèmes, elles produisent ce genre de critiques.

Oui c'est vrai, mais c'est un aspect de la question; parce qu'il y a un mantra chez les wokes qui revient souvient, c'est de dire que la représentation est importante. Et c'est pour ça que depuis quelques années, on a de plus en plus de castings calibrés multiethniques, avec un acteur pour représenter chaque ethnie.

Ce qui donne ça:

Crois-moi, je suis la première à en être désolée. Peut-être qu'il faut passer par ce mouvement absurde pour rétablir un juste équilibre à l'avenir ; c'est-à-dire un équilibre qui ne soit pas forcé et qui ne nuise pas aux œuvres comme c'est trop souvent le cas ?

Ça c'est considérer qu'avant ce mouvement il y avait un "déséquilibre", ce que je ne pense pas.

Est-ce que tu es une femme ? Est-ce que tu es racisé ? Est-ce que tu fais partie de la communauté LGBTQI+ ? C'est humain que de vouloir être représenté dans la société. Ce "déséquilibre" est vécu comme une invisibilisation qui nie l'existence et l'importance des individus. Au final, ces processus qui relèvent du déni de reconnaissance aboutissent à la situation que nous vivons avec la démocratie représentative.

Mais justement... Que des minorités ne soient pas représentées à la même échelle que des majorités, en quoi est-ce un déséquilibre?

Une minorité est par définition minoritaire. Chercher à la lui donner un représentation équivalente à une majorité c'est logiquement créer un déséquilibre.

Le 13 août 2021 à 16:44:24 :

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En soi, son analyse sur la socialisation et sur les représentations de l'auteur n'est pas erronée. Seulement, elle oublie de prendre en compte le contexte de son œuvre et de sa création.

Elle est complètement à côté de plaque, la fiction n'a jamais eu pour vocation de "représenter" les gens.

Pour ces acteurs et ces actrices de la mouvance féministe, le problème n'est pas là. Ce qu'ils considèrent, c'est que toute œuvre est le reflet des représentations de son auteur et de son époque. Comme ce qu'elles voient ne correspond pas à leurs schèmes, elles produisent ce genre de critiques.

Oui c'est vrai, mais c'est un aspect de la question; parce qu'il y a un mantra chez les wokes qui revient souvient, c'est de dire que la représentation est importante. Et c'est pour ça que depuis quelques années, on a de plus en plus de castings calibrés multiethniques, avec un acteur pour représenter chaque ethnie.

Ce qui donne ça:

Crois-moi, je suis la première à en être désolée. Peut-être qu'il faut passer par ce mouvement absurde pour rétablir un juste équilibre à l'avenir ; c'est-à-dire un équilibre qui ne soit pas forcé et qui ne nuise pas aux œuvres comme c'est trop souvent le cas ?

Ça c'est considérer qu'avant ce mouvement il y avait un "déséquilibre", ce que je ne pense pas.

Est-ce que tu es une femme ? Est-ce que tu es racisé ? Est-ce que tu fais partie de la communauté LGBTQI+ ? C'est humain que de vouloir être représenté dans la société. Ce "déséquilibre" est vécu comme une invisibilisation qui nie l'existence et l'importance des individus. Au final, ces processus qui relèvent du déni de reconnaissance aboutissent à la situation que nous vivons avec la démocratie représentative.

Ce genre de revendications identitaires n'avait strictement aucune importance avant le mouvement woke et va à l'encontre de ce qu'est supposé être la fiction, qui est de te permettre justement de t'identifier à des gens qui ne te ressemblent pas.

Gamin je n'ai jamais eu de mal à m'identifier à Arnold et Willy ou Punky Brewster, pas plus que je ne me sens "représenté" par Indiana Jones ou James Bond.
La fiction repose aussi sur la représentation du réel... est-ce qu'un groupe d'amis blancs comme dans Friends te paraitrait invraisemblable dans la réalité? Est-ce que l'univers va s'effondrer si il n' y a pas un personnage LGBT dans un film?

Est-ce qu'on ne pourrait pas retrouver l'innocence de l'époque où les gens se rassemblaient autour d'un bon film en se contrefichant de ces délires identitaires?
https://twitter.com/starwarspassion/status/1362069295434407937

Complètement d'accord avec ta conclusion ! En ce moment, on vit une période d'affirmation de ces mouvements identitaires qui attendent que leurs revendications (qu'on les juge légitimes ou non) soient satisfaites.

Ils veulent toujours mettre sur la table les problèmes de couleur de peau a la moindre occasion. A force de faire une fixette sur les couleurs de peau, voire les minorités comme des êtres "inférieurs" qu'il faut sauver c'est eux qui alimentent le racisme.

Ils veulent juste se donner bonne figure et se poser en grand sauveur mais si tu les premiers à refuser de la mixité dans leur quartier

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En soi, son analyse sur la socialisation et sur les représentations de l'auteur n'est pas erronée. Seulement, elle oublie de prendre en compte le contexte de son œuvre et de sa création.

Elle est complètement à côté de plaque, la fiction n'a jamais eu pour vocation de "représenter" les gens.

Pour ces acteurs et ces actrices de la mouvance féministe, le problème n'est pas là. Ce qu'ils considèrent, c'est que toute œuvre est le reflet des représentations de son auteur et de son époque. Comme ce qu'elles voient ne correspond pas à leurs schèmes, elles produisent ce genre de critiques.

Oui c'est vrai, mais c'est un aspect de la question; parce qu'il y a un mantra chez les wokes qui revient souvient, c'est de dire que la représentation est importante. Et c'est pour ça que depuis quelques années, on a de plus en plus de castings calibrés multiethniques, avec un acteur pour représenter chaque ethnie.

Ce qui donne ça:

Crois-moi, je suis la première à en être désolée. Peut-être qu'il faut passer par ce mouvement absurde pour rétablir un juste équilibre à l'avenir ; c'est-à-dire un équilibre qui ne soit pas forcé et qui ne nuise pas aux œuvres comme c'est trop souvent le cas ?

Ça c'est considérer qu'avant ce mouvement il y avait un "déséquilibre", ce que je ne pense pas.

Est-ce que tu es une femme ? Est-ce que tu es racisé ? Est-ce que tu fais partie de la communauté LGBTQI+ ? C'est humain que de vouloir être représenté dans la société. Ce "déséquilibre" est vécu comme une invisibilisation qui nie l'existence et l'importance des individus. Au final, ces processus qui relèvent du déni de reconnaissance aboutissent à la situation que nous vivons avec la démocratie représentative.

Mais justement... Que des minorités ne soient pas représentées à la même échelle que des majorités, en quoi est-ce un déséquilibre?

Une minorité est par définition minoritaire. Chercher à la lui donner un représentation équivalente à une majorité c'est logiquement créer un déséquilibre.

Ça devient compliqué de parler de "minorités" sur certains aspects sociologiques. On peut comprendre la revendication de représentation de ces populations. Est-ce que tu serais dans le même état d'esprit si tu te retrouvais "de l'autre côté" ?

Je n'aime ni kaamelott et encore moins konbini mais je me suis infligé la lecture complète de ce torchon (en diagonale quand même ) c'est totalement hallucinant
Lien pour les masochistes https://www.google.com/amp/s/biiinge.konbini.com/amp/analyse/kaamelott-representation-moyen-age-legende-arthurienne

L'intervenante est soit disant une spécialiste du moyen âge et pour résumer elle trouve qu'il n'y a pas assez de RACISÉS (wtf ce terme) de LGBT+ (je ne sais pas d'où sort ce + au passage) et que les femmes sont représentées selon la vision de mâles blanc cis genre occidental hétéronormé je ne sais pas quoi. Alors que selon elle ils existaient en nombre significatif au moyen âge, et qu'il y avait des femmes médecins. Elle dit qu'il y avait un noir ou métisse dans les légendes arthuriennes que l'on ne voit pas dans le film ect.. Wtf

Elle va même jusqu'à compter le ratio de blancs /noir homme/femme sur l'affiche...

C'est du délire total. Comment on en est arrivé là?

Le 13 août 2021 à 15:43:34 :
Ils meurent si ils sucent pas les minorités toutes les deux secondes ?

Je pense que c'est ça oui