Topic de Friedhelm-71 :

La maman de ton pote "Célestin prends un verre avec moi"

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https://image.noelshack.com/fichiers/2021/24/5/1624030144-screenshot-20210618-172827-instagram.jpg "Ton ami n'est pas là..."
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/24/5/1624030150-screenshot-20210618-172835-instagram.jpg "... mais ce n'est pas grave, tu m'accompagnes Célestin ?"

Ta réaction ? https://image.noelshack.com/fichiers/2019/28/3/1562784556-cr7-cloclo2.png

Une paire de seins pareil, moi ça me laisse rêveur. Imaginez la mettre en cloque ? Le lait lui monte jusqu'à saturation, et lorsque le liquide divin perle par percolation autour de ses tétons alors cela voudra dire qu'elle sera douloureusement pleine. Même la caresse la plus délicate de cet endroit déclenchera une contraction incontrôlée de ces deux outres pleines, sitôt suivi de jets lactés abondants multidirectionnels et brillant au soleil. Oui, il faudra la déshabiller et l'harnacher, la monter avec des poulie et des cordes, jusqu'à ce que ses pieds ne touchent plus le sol, en prenant soins d'enrouler ses deux seins gorgés de vie dans des liens qui ne feront que se resserrer lorsqu'elle se débattra. Commencera alors une scène digne de la genèse du monde, des dieux et des hommes. Le lait jaillira puissamment dans sa libération salvatrice et inarrêtable malgré ses supplications, éclaboussant tout ce qui se trouve en dessous d'elle et qui se recouvre bientôt d'un liquide uniformément blanc et aqueux, à l'odeur chaude et onctueuse, délicieusement comestible. Son gros ventre de femme enceinte moucheté de gouttes blanches qui bientôt se rejoignent et coulent comme de la pluie jusqu’au nombril lui-même bombé et tendu comme un troisième téton dégoulinant. Tel l'initié au rituel mithraïque nous nous porteront sous cette fontaine d'abondance, génisse gémissante, et des deux mains lèveront la coupe, qui se remplira. Tandis que nos cheveux colleront sur notre front, et que la chaleur du lait détendra les traits de notre visage illuminé. Cette première lampée solennelle faite, nous relâcheront doucement ses liens et feront descendre la reine dans nos bras pour l’accueillir tout contre nous comme dans un geste de consolation. C'est alors que sans crier gare nous reserreront ultimement les liens, plus fort encore, provocant un dernier cri de douleur et d'orgasme. Sa poitrine rouge aux afflux veineux violacés, exacerbés et battant au rythme de son cœur haletant, délivrera l'ultime déluge de lait que nous accompagneront de nos deux mains en massant ses seins et en buvant tel un bébé à la source même. Corps contre corps, verge contre ventre, perdant l’appuie de nos jambes sur le sol glissant, tentant de nous redresser sur nos genoux, en vain. Déchargeant aussitôt notre sperme, s'étalant confondu dans son lait, ses yeux révulsés et l'âme roulant dans la voie lactée...le râle primordial de mâle de notre plus pure instinct annoncera la fin du délice et du supplice.
Retombant du septième ciel tel Lucifer dans sa chute, un voile semble se lever sur la scène. Et nous redécouvrons, avec nos yeux lucides, notre état. Deux figurants, trempés et brûlant au milieu de la scène du crime. Nous voilà intimidés, presque honteux. Elle s'est évanouie et semble dormir sur notre épaule. Toujours à genoux l'un dans l'autre, et en silence, nous libérons de ses liens son corps vidé de toute substance.

Le 18 juin 2021 à 17:33:53 :
Une paire de seins pareil, moi ça me laisse rêveur. Imaginez la mettre en cloque ? Le lait lui monte jusqu'à saturation, et lorsque le liquide divin perle par percolation autour de ses tétons alors cela voudra dire qu'elle sera douloureusement pleine. Même la caresse la plus délicate de cet endroit déclenchera une contraction incontrôlée de ces deux outres pleines, sitôt suivi de jets lactés abondants multidirectionnels et brillant au soleil. Oui, il faudra la déshabiller et l'harnacher, la monter avec des poulie et des cordes, jusqu'à ce que ses pieds ne touchent plus le sol, en prenant soins d'enrouler ses deux seins gorgés de vie dans des liens qui ne feront que se resserrer lorsqu'elle se débattra. Commencera alors une scène digne de la genèse du monde, des dieux et des hommes. Le lait jaillira puissamment dans sa libération salvatrice et inarrêtable malgré ses supplications, éclaboussant tout ce qui se trouve en dessous d'elle et qui se recouvre bientôt d'un liquide uniformément blanc et aqueux, à l'odeur chaude et onctueuse, délicieusement comestible. Son gros ventre de femme enceinte moucheté de gouttes blanches qui bientôt se rejoignent et coulent comme de la pluie jusqu’au nombril lui-même bombé et tendu comme un troisième téton dégoulinant. Tel l'initié au rituel mithraïque nous nous porteront sous cette fontaine d'abondance, génisse gémissante, et des deux mains lèveront la coupe, qui se remplira. Tandis que nos cheveux colleront sur notre front, et que la chaleur du lait détendra les traits de notre visage illuminé. Cette première lampée solennelle faite, nous relâcheront doucement ses liens et feront descendre la reine dans nos bras pour l’accueillir tout contre nous comme dans un geste de consolation. C'est alors que sans crier gare nous reserreront ultimement les liens, plus fort encore, provocant un dernier cri de douleur et d'orgasme. Sa poitrine rouge aux afflux veineux violacés, exacerbés et battant au rythme de son cœur haletant, délivrera l'ultime déluge de lait que nous accompagneront de nos deux mains en massant ses seins et en buvant tel un bébé à la source même. Corps contre corps, verge contre ventre, perdant l’appuie de nos jambes sur le sol glissant, tentant de nous redresser sur nos genoux, en vain. Déchargeant aussitôt notre sperme, s'étalant confondu dans son lait, ses yeux révulsés et l'âme roulant dans la voie lactée...le râle primordial de mâle de notre plus pure instinct annoncera la fin du délice et du supplice.
Retombant du septième ciel tel Lucifer dans sa chute, un voile semble se lever sur la scène. Et nous redécouvrons, avec nos yeux lucides, notre état. Deux figurants, trempés et brûlant au milieu de la scène du crime. Nous voilà intimidés, presque honteux. Elle s'est évanouie et semble dormir sur notre épaule. Toujours à genoux l'un dans l'autre, et en silence, nous libérons de ses liens son corps vidé de toute substance.

Wat

Le 18 juin 2021 à 17:33:53 :
Une paire de seins pareil, moi ça me laisse rêveur. Imaginez la mettre en cloque ? Le lait lui monte jusqu'à saturation, et lorsque le liquide divin perle par percolation autour de ses tétons alors cela voudra dire qu'elle sera douloureusement pleine. Même la caresse la plus délicate de cet endroit déclenchera une contraction incontrôlée de ces deux outres pleines, sitôt suivi de jets lactés abondants multidirectionnels et brillant au soleil. Oui, il faudra la déshabiller et l'harnacher, la monter avec des poulie et des cordes, jusqu'à ce que ses pieds ne touchent plus le sol, en prenant soins d'enrouler ses deux seins gorgés de vie dans des liens qui ne feront que se resserrer lorsqu'elle se débattra. Commencera alors une scène digne de la genèse du monde, des dieux et des hommes. Le lait jaillira puissamment dans sa libération salvatrice et inarrêtable malgré ses supplications, éclaboussant tout ce qui se trouve en dessous d'elle et qui se recouvre bientôt d'un liquide uniformément blanc et aqueux, à l'odeur chaude et onctueuse, délicieusement comestible. Son gros ventre de femme enceinte moucheté de gouttes blanches qui bientôt se rejoignent et coulent comme de la pluie jusqu’au nombril lui-même bombé et tendu comme un troisième téton dégoulinant. Tel l'initié au rituel mithraïque nous nous porteront sous cette fontaine d'abondance, génisse gémissante, et des deux mains lèveront la coupe, qui se remplira. Tandis que nos cheveux colleront sur notre front, et que la chaleur du lait détendra les traits de notre visage illuminé. Cette première lampée solennelle faite, nous relâcheront doucement ses liens et feront descendre la reine dans nos bras pour l’accueillir tout contre nous comme dans un geste de consolation. C'est alors que sans crier gare nous reserreront ultimement les liens, plus fort encore, provocant un dernier cri de douleur et d'orgasme. Sa poitrine rouge aux afflux veineux violacés, exacerbés et battant au rythme de son cœur haletant, délivrera l'ultime déluge de lait que nous accompagneront de nos deux mains en massant ses seins et en buvant tel un bébé à la source même. Corps contre corps, verge contre ventre, perdant l’appuie de nos jambes sur le sol glissant, tentant de nous redresser sur nos genoux, en vain. Déchargeant aussitôt notre sperme, s'étalant confondu dans son lait, ses yeux révulsés et l'âme roulant dans la voie lactée...le râle primordial de mâle de notre plus pure instinct annoncera la fin du délice et du supplice.
Retombant du septième ciel tel Lucifer dans sa chute, un voile semble se lever sur la scène. Et nous redécouvrons, avec nos yeux lucides, notre état. Deux figurants, trempés et brûlant au milieu de la scène du crime. Nous voilà intimidés, presque honteux. Elle s'est évanouie et semble dormir sur notre épaule. Toujours à genoux l'un dans l'autre, et en silence, nous libérons de ses liens son corps vidé de toute substance.

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Le 18 juin 2021 à 17:33:53 :
Une paire de seins pareil, moi ça me laisse rêveur. Imaginez la mettre en cloque ? Le lait lui monte jusqu'à saturation, et lorsque le liquide divin perle par percolation autour de ses tétons alors cela voudra dire qu'elle sera douloureusement pleine. Même la caresse la plus délicate de cet endroit déclenchera une contraction incontrôlée de ces deux outres pleines, sitôt suivi de jets lactés abondants multidirectionnels et brillant au soleil. Oui, il faudra la déshabiller et l'harnacher, la monter avec des poulie et des cordes, jusqu'à ce que ses pieds ne touchent plus le sol, en prenant soins d'enrouler ses deux seins gorgés de vie dans des liens qui ne feront que se resserrer lorsqu'elle se débattra. Commencera alors une scène digne de la genèse du monde, des dieux et des hommes. Le lait jaillira puissamment dans sa libération salvatrice et inarrêtable malgré ses supplications, éclaboussant tout ce qui se trouve en dessous d'elle et qui se recouvre bientôt d'un liquide uniformément blanc et aqueux, à l'odeur chaude et onctueuse, délicieusement comestible. Son gros ventre de femme enceinte moucheté de gouttes blanches qui bientôt se rejoignent et coulent comme de la pluie jusqu’au nombril lui-même bombé et tendu comme un troisième téton dégoulinant. Tel l'initié au rituel mithraïque nous nous porteront sous cette fontaine d'abondance, génisse gémissante, et des deux mains lèveront la coupe, qui se remplira. Tandis que nos cheveux colleront sur notre front, et que la chaleur du lait détendra les traits de notre visage illuminé. Cette première lampée solennelle faite, nous relâcheront doucement ses liens et feront descendre la reine dans nos bras pour l’accueillir tout contre nous comme dans un geste de consolation. C'est alors que sans crier gare nous reserreront ultimement les liens, plus fort encore, provocant un dernier cri de douleur et d'orgasme. Sa poitrine rouge aux afflux veineux violacés, exacerbés et battant au rythme de son cœur haletant, délivrera l'ultime déluge de lait que nous accompagneront de nos deux mains en massant ses seins et en buvant tel un bébé à la source même. Corps contre corps, verge contre ventre, perdant l’appuie de nos jambes sur le sol glissant, tentant de nous redresser sur nos genoux, en vain. Déchargeant aussitôt notre sperme, s'étalant confondu dans son lait, ses yeux révulsés et l'âme roulant dans la voie lactée...le râle primordial de mâle de notre plus pure instinct annoncera la fin du délice et du supplice.
Retombant du septième ciel tel Lucifer dans sa chute, un voile semble se lever sur la scène. Et nous redécouvrons, avec nos yeux lucides, notre état. Deux figurants, trempés et brûlant au milieu de la scène du crime. Nous voilà intimidés, presque honteux. Elle s'est évanouie et semble dormir sur notre épaule. Toujours à genoux l'un dans l'autre, et en silence, nous libérons de ses liens son corps vidé de toute substance.

https://image.noelshack.com/fichiers/2020/37/2/1599581015-roundal.png

Putain le pavé ma fait hurlé de rire https://image.noelshack.com/fichiers/2018/22/6/1527961965-jesus-plie-de-rire-bras-leve.png

Le 18 juin 2021 à 17:44:17 :
c est qui

[17:42:53] <Auric_Godshawk6>
Nom + insta?

Le 18 juin 2021 à 17:33:53 :
Une paire de seins pareil, moi ça me laisse rêveur. Imaginez la mettre en cloque ? Le lait lui monte jusqu'à saturation, et lorsque le liquide divin perle par percolation autour de ses tétons alors cela voudra dire qu'elle sera douloureusement pleine. Même la caresse la plus délicate de cet endroit déclenchera une contraction incontrôlée de ces deux outres pleines, sitôt suivi de jets lactés abondants multidirectionnels et brillant au soleil. Oui, il faudra la déshabiller et l'harnacher, la monter avec des poulie et des cordes, jusqu'à ce que ses pieds ne touchent plus le sol, en prenant soins d'enrouler ses deux seins gorgés de vie dans des liens qui ne feront que se resserrer lorsqu'elle se débattra. Commencera alors une scène digne de la genèse du monde, des dieux et des hommes. Le lait jaillira puissamment dans sa libération salvatrice et inarrêtable malgré ses supplications, éclaboussant tout ce qui se trouve en dessous d'elle et qui se recouvre bientôt d'un liquide uniformément blanc et aqueux, à l'odeur chaude et onctueuse, délicieusement comestible. Son gros ventre de femme enceinte moucheté de gouttes blanches qui bientôt se rejoignent et coulent comme de la pluie jusqu’au nombril lui-même bombé et tendu comme un troisième téton dégoulinant. Tel l'initié au rituel mithraïque nous nous porteront sous cette fontaine d'abondance, génisse gémissante, et des deux mains lèveront la coupe, qui se remplira. Tandis que nos cheveux colleront sur notre front, et que la chaleur du lait détendra les traits de notre visage illuminé. Cette première lampée solennelle faite, nous relâcheront doucement ses liens et feront descendre la reine dans nos bras pour l’accueillir tout contre nous comme dans un geste de consolation. C'est alors que sans crier gare nous reserreront ultimement les liens, plus fort encore, provocant un dernier cri de douleur et d'orgasme. Sa poitrine rouge aux afflux veineux violacés, exacerbés et battant au rythme de son cœur haletant, délivrera l'ultime déluge de lait que nous accompagneront de nos deux mains en massant ses seins et en buvant tel un bébé à la source même. Corps contre corps, verge contre ventre, perdant l’appuie de nos jambes sur le sol glissant, tentant de nous redresser sur nos genoux, en vain. Déchargeant aussitôt notre sperme, s'étalant confondu dans son lait, ses yeux révulsés et l'âme roulant dans la voie lactée...le râle primordial de mâle de notre plus pure instinct annoncera la fin du délice et du supplice.
Retombant du septième ciel tel Lucifer dans sa chute, un voile semble se lever sur la scène. Et nous redécouvrons, avec nos yeux lucides, notre état. Deux figurants, trempés et brûlant au milieu de la scène du crime. Nous voilà intimidés, presque honteux. Elle s'est évanouie et semble dormir sur notre épaule. Toujours à genoux l'un dans l'autre, et en silence, nous libérons de ses liens son corps vidé de toute substance.

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Données du topic

Auteur
Friedhelm-71
Date de création
18 juin 2021 à 17:30:20
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