[BORDEL] HOUELLEBECQ parle des féministes

Le 18 mars 2021 à 16:54:48 Eddy_Puss a écrit :
Et il oublie de dire que ces femmes eleveront leurs fils à la féministes et que ces derniers mourront puceaux

Ou finiront cuck par leur femme exactement pour exactement la même raison
La boucle

Le 18 mars 2021 à 17:05:17 Eddy_Puss a écrit :
Je me demande pourquoi les femmes élèvent des fils féministes. À part si ils sont très BG, elles savent qu'ils ont 99% de chances de finir puceaux (ou pire Jonathan Daval) toute leur vie. C'est quoi le projet des mamans?

Parce que c’est le genre de mec qu’elle désire actuellement, un homme gentil et fidèle qui pourra l’entretenir elle et son fils.
Mais elle a oublié que ce n’est pas du tout le genre de mec sur lequel elle fantasmait dans sa jeunesse, quand elle n’avait pas encore pondu.

Le 18 mars 2021 à 17:06:35 MadameBovari a écrit :
C'est parce qu'il faut voter pour les congé parentale pour les père

En voilà une idée suspecte

Le 18 mars 2021 à 17:05:00 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:59:51 Tipiak21 a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:56:26 oupsjairater a écrit :
c'est d'autant plus intelligent que le livre date de 1998

À l'époque c'était 2/3 machos qu'elles se tapaient, maintenant c'est bien plus

« Du point de vue amoureux Véronique appartenait, comme nous tous, à une génération sacrifiée. Elle avait certainement été capable d'amour; elle aurait souhaité en être encore capable, je lui rends ce témoignage; mais cela n'était plus possible.

Phénomène rare, artificiel et tardif, l'amour ne peut s'épanouir que dans des conditions mentales spéciales, rarement réunies, en tous points opposées à la liberté de mœurs qui caractérise l'époque moderne. Véronique avait connu trop de discothèques et d'amants; un tel mode de vie appauvrit l'être humain, lui infligeant des dommages parfois graves et toujours irréversibles.

L'amour comme innocence et comme capacité d'illusion, comme aptitude à résumer l'ensemble de l'autre sexe à un seul être aimé, résiste rarement à une année de vagabondage sexuel, jamais à deux.

En réalité, les expériences sexuelles successives accumulées au cours de l'adolescence minent et détruisent rapidement toute possibilité de projection d'ordre sentimental et romanesque; progressivement, et en fait assez vite, on devient aussi capable d'amour qu'un vieux torchon. Et on mène ensuite, évidemment, une vie de torchon; en vieillissant on devient moins séduisant, et de ce fait amer. On jalouse les jeunes, et de ce fait on les hait. Cette haine, condamnée à rester inavouable, s'envenime et devient de plus en plus ardente; puis elle s'amortit et s'éteint, comme tout s'éteint. Il ne reste plus que l'amertume et le dégoût, la maladie et l'attente de la mort. »

Michel Houellebecq. « Extension du domaine de la lutte. »

Bordel sacré RedPill ce pavé sur les féministes...

Le 18 mars 2021 à 17:18:43 Eddy_Puss a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:05:00 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:59:51 Tipiak21 a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:56:26 oupsjairater a écrit :
c'est d'autant plus intelligent que le livre date de 1998

À l'époque c'était 2/3 machos qu'elles se tapaient, maintenant c'est bien plus

« Du point de vue amoureux Véronique appartenait, comme nous tous, à une génération sacrifiée. Elle avait certainement été capable d'amour; elle aurait souhaité en être encore capable, je lui rends ce témoignage; mais cela n'était plus possible.

Phénomène rare, artificiel et tardif, l'amour ne peut s'épanouir que dans des conditions mentales spéciales, rarement réunies, en tous points opposées à la liberté de mœurs qui caractérise l'époque moderne. Véronique avait connu trop de discothèques et d'amants; un tel mode de vie appauvrit l'être humain, lui infligeant des dommages parfois graves et toujours irréversibles.

L'amour comme innocence et comme capacité d'illusion, comme aptitude à résumer l'ensemble de l'autre sexe à un seul être aimé, résiste rarement à une année de vagabondage sexuel, jamais à deux.

En réalité, les expériences sexuelles successives accumulées au cours de l'adolescence minent et détruisent rapidement toute possibilité de projection d'ordre sentimental et romanesque; progressivement, et en fait assez vite, on devient aussi capable d'amour qu'un vieux torchon. Et on mène ensuite, évidemment, une vie de torchon; en vieillissant on devient moins séduisant, et de ce fait amer. On jalouse les jeunes, et de ce fait on les hait. Cette haine, condamnée à rester inavouable, s'envenime et devient de plus en plus ardente; puis elle s'amortit et s'éteint, comme tout s'éteint. Il ne reste plus que l'amertume et le dégoût, la maladie et l'attente de la mort. »

Michel Houellebecq. « Extension du domaine de la lutte. »

Bordel sacré RedPill ce pavé sur les féministes...

Il te reste ta mère en ce qui te concerne

Le 18 mars 2021 à 17:19:21 Mavet_la_grosse a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:18:43 Eddy_Puss a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:05:00 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:59:51 Tipiak21 a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:56:26 oupsjairater a écrit :
c'est d'autant plus intelligent que le livre date de 1998

À l'époque c'était 2/3 machos qu'elles se tapaient, maintenant c'est bien plus

« Du point de vue amoureux Véronique appartenait, comme nous tous, à une génération sacrifiée. Elle avait certainement été capable d'amour; elle aurait souhaité en être encore capable, je lui rends ce témoignage; mais cela n'était plus possible.

Phénomène rare, artificiel et tardif, l'amour ne peut s'épanouir que dans des conditions mentales spéciales, rarement réunies, en tous points opposées à la liberté de mœurs qui caractérise l'époque moderne. Véronique avait connu trop de discothèques et d'amants; un tel mode de vie appauvrit l'être humain, lui infligeant des dommages parfois graves et toujours irréversibles.

L'amour comme innocence et comme capacité d'illusion, comme aptitude à résumer l'ensemble de l'autre sexe à un seul être aimé, résiste rarement à une année de vagabondage sexuel, jamais à deux.

En réalité, les expériences sexuelles successives accumulées au cours de l'adolescence minent et détruisent rapidement toute possibilité de projection d'ordre sentimental et romanesque; progressivement, et en fait assez vite, on devient aussi capable d'amour qu'un vieux torchon. Et on mène ensuite, évidemment, une vie de torchon; en vieillissant on devient moins séduisant, et de ce fait amer. On jalouse les jeunes, et de ce fait on les hait. Cette haine, condamnée à rester inavouable, s'envenime et devient de plus en plus ardente; puis elle s'amortit et s'éteint, comme tout s'éteint. Il ne reste plus que l'amertume et le dégoût, la maladie et l'attente de la mort. »

Michel Houellebecq. « Extension du domaine de la lutte. »

Bordel sacré RedPill ce pavé sur les féministes...

Il te reste ta mère en ce qui te concerne

Qu'est-ce que tu baragouines ?

Putain le pavé sur les relations

"Mais pourquoi vous voulez pas de meuf qui a beaucoup baisée " parce qu'on ne veut pas d'un torchon

Le 18 mars 2021 à 17:19:21 Mavet_la_grosse a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:18:43 Eddy_Puss a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:05:00 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:59:51 Tipiak21 a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:56:26 oupsjairater a écrit :
c'est d'autant plus intelligent que le livre date de 1998

À l'époque c'était 2/3 machos qu'elles se tapaient, maintenant c'est bien plus

« Du point de vue amoureux Véronique appartenait, comme nous tous, à une génération sacrifiée. Elle avait certainement été capable d'amour; elle aurait souhaité en être encore capable, je lui rends ce témoignage; mais cela n'était plus possible.

Phénomène rare, artificiel et tardif, l'amour ne peut s'épanouir que dans des conditions mentales spéciales, rarement réunies, en tous points opposées à la liberté de mœurs qui caractérise l'époque moderne. Véronique avait connu trop de discothèques et d'amants; un tel mode de vie appauvrit l'être humain, lui infligeant des dommages parfois graves et toujours irréversibles.

L'amour comme innocence et comme capacité d'illusion, comme aptitude à résumer l'ensemble de l'autre sexe à un seul être aimé, résiste rarement à une année de vagabondage sexuel, jamais à deux.

En réalité, les expériences sexuelles successives accumulées au cours de l'adolescence minent et détruisent rapidement toute possibilité de projection d'ordre sentimental et romanesque; progressivement, et en fait assez vite, on devient aussi capable d'amour qu'un vieux torchon. Et on mène ensuite, évidemment, une vie de torchon; en vieillissant on devient moins séduisant, et de ce fait amer. On jalouse les jeunes, et de ce fait on les hait. Cette haine, condamnée à rester inavouable, s'envenime et devient de plus en plus ardente; puis elle s'amortit et s'éteint, comme tout s'éteint. Il ne reste plus que l'amertume et le dégoût, la maladie et l'attente de la mort. »

Michel Houellebecq. « Extension du domaine de la lutte. »

Bordel sacré RedPill ce pavé sur les féministes...

Il te reste ta mère en ce qui te concerne

Oui je suis pas venu au monde pour mourir puceau
J'ai ni le physique ni le caractère d'un mâle alpha
C'est la seule femme qui me trahira jamais et c'est une 8.5/10.

Le 18 mars 2021 à 17:21:37 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:19:21 Mavet_la_grosse a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:18:43 Eddy_Puss a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:05:00 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:59:51 Tipiak21 a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:56:26 oupsjairater a écrit :
c'est d'autant plus intelligent que le livre date de 1998

À l'époque c'était 2/3 machos qu'elles se tapaient, maintenant c'est bien plus

« Du point de vue amoureux Véronique appartenait, comme nous tous, à une génération sacrifiée. Elle avait certainement été capable d'amour; elle aurait souhaité en être encore capable, je lui rends ce témoignage; mais cela n'était plus possible.

Phénomène rare, artificiel et tardif, l'amour ne peut s'épanouir que dans des conditions mentales spéciales, rarement réunies, en tous points opposées à la liberté de mœurs qui caractérise l'époque moderne. Véronique avait connu trop de discothèques et d'amants; un tel mode de vie appauvrit l'être humain, lui infligeant des dommages parfois graves et toujours irréversibles.

L'amour comme innocence et comme capacité d'illusion, comme aptitude à résumer l'ensemble de l'autre sexe à un seul être aimé, résiste rarement à une année de vagabondage sexuel, jamais à deux.

En réalité, les expériences sexuelles successives accumulées au cours de l'adolescence minent et détruisent rapidement toute possibilité de projection d'ordre sentimental et romanesque; progressivement, et en fait assez vite, on devient aussi capable d'amour qu'un vieux torchon. Et on mène ensuite, évidemment, une vie de torchon; en vieillissant on devient moins séduisant, et de ce fait amer. On jalouse les jeunes, et de ce fait on les hait. Cette haine, condamnée à rester inavouable, s'envenime et devient de plus en plus ardente; puis elle s'amortit et s'éteint, comme tout s'éteint. Il ne reste plus que l'amertume et le dégoût, la maladie et l'attente de la mort. »

Michel Houellebecq. « Extension du domaine de la lutte. »

Bordel sacré RedPill ce pavé sur les féministes...

Il te reste ta mère en ce qui te concerne

Qu'est-ce que tu baragouines ?

Le forumer Eddy_Puss est attiré par sa mère. Dans un topic qui a été supprimé il explique qu'il aimerait coucher avec sa mère mais qu'il ne sait pas comment

Le 18 mars 2021 à 17:22:27 Eddy_Puss a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:19:21 Mavet_la_grosse a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:18:43 Eddy_Puss a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:05:00 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:59:51 Tipiak21 a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:56:26 oupsjairater a écrit :
c'est d'autant plus intelligent que le livre date de 1998

À l'époque c'était 2/3 machos qu'elles se tapaient, maintenant c'est bien plus

« Du point de vue amoureux Véronique appartenait, comme nous tous, à une génération sacrifiée. Elle avait certainement été capable d'amour; elle aurait souhaité en être encore capable, je lui rends ce témoignage; mais cela n'était plus possible.

Phénomène rare, artificiel et tardif, l'amour ne peut s'épanouir que dans des conditions mentales spéciales, rarement réunies, en tous points opposées à la liberté de mœurs qui caractérise l'époque moderne. Véronique avait connu trop de discothèques et d'amants; un tel mode de vie appauvrit l'être humain, lui infligeant des dommages parfois graves et toujours irréversibles.

L'amour comme innocence et comme capacité d'illusion, comme aptitude à résumer l'ensemble de l'autre sexe à un seul être aimé, résiste rarement à une année de vagabondage sexuel, jamais à deux.

En réalité, les expériences sexuelles successives accumulées au cours de l'adolescence minent et détruisent rapidement toute possibilité de projection d'ordre sentimental et romanesque; progressivement, et en fait assez vite, on devient aussi capable d'amour qu'un vieux torchon. Et on mène ensuite, évidemment, une vie de torchon; en vieillissant on devient moins séduisant, et de ce fait amer. On jalouse les jeunes, et de ce fait on les hait. Cette haine, condamnée à rester inavouable, s'envenime et devient de plus en plus ardente; puis elle s'amortit et s'éteint, comme tout s'éteint. Il ne reste plus que l'amertume et le dégoût, la maladie et l'attente de la mort. »

Michel Houellebecq. « Extension du domaine de la lutte. »

Bordel sacré RedPill ce pavé sur les féministes...

Il te reste ta mère en ce qui te concerne

Oui je suis pas venu au monde pour mourir puceau
J'ai ni le physique ni le caractère d'un mâle alpha
C'est la seule femme qui me trahira jamais et c'est une 8.5/10.

Viens en MP et on essaye tout les deux de réfléchir à un moyen de t'aider

Le 18 mars 2021 à 17:22:53 Mavet_la_grosse a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:21:37 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:19:21 Mavet_la_grosse a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:18:43 Eddy_Puss a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:05:00 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:59:51 Tipiak21 a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:56:26 oupsjairater a écrit :
c'est d'autant plus intelligent que le livre date de 1998

À l'époque c'était 2/3 machos qu'elles se tapaient, maintenant c'est bien plus

« Du point de vue amoureux Véronique appartenait, comme nous tous, à une génération sacrifiée. Elle avait certainement été capable d'amour; elle aurait souhaité en être encore capable, je lui rends ce témoignage; mais cela n'était plus possible.

Phénomène rare, artificiel et tardif, l'amour ne peut s'épanouir que dans des conditions mentales spéciales, rarement réunies, en tous points opposées à la liberté de mœurs qui caractérise l'époque moderne. Véronique avait connu trop de discothèques et d'amants; un tel mode de vie appauvrit l'être humain, lui infligeant des dommages parfois graves et toujours irréversibles.

L'amour comme innocence et comme capacité d'illusion, comme aptitude à résumer l'ensemble de l'autre sexe à un seul être aimé, résiste rarement à une année de vagabondage sexuel, jamais à deux.

En réalité, les expériences sexuelles successives accumulées au cours de l'adolescence minent et détruisent rapidement toute possibilité de projection d'ordre sentimental et romanesque; progressivement, et en fait assez vite, on devient aussi capable d'amour qu'un vieux torchon. Et on mène ensuite, évidemment, une vie de torchon; en vieillissant on devient moins séduisant, et de ce fait amer. On jalouse les jeunes, et de ce fait on les hait. Cette haine, condamnée à rester inavouable, s'envenime et devient de plus en plus ardente; puis elle s'amortit et s'éteint, comme tout s'éteint. Il ne reste plus que l'amertume et le dégoût, la maladie et l'attente de la mort. »

Michel Houellebecq. « Extension du domaine de la lutte. »

Bordel sacré RedPill ce pavé sur les féministes...

Il te reste ta mère en ce qui te concerne

Qu'est-ce que tu baragouines ?

Le forumer Eddy_Puss est attiré par sa mère. Dans un topic qui a été supprimé il explique qu'il aimerait coucher avec sa mère mais qu'il ne sait pas comment

Je vois, j'espère qu'il pourra trouver un jour le moyen de la baiser

Le 18 mars 2021 à 17:26:09 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:22:53 Mavet_la_grosse a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:21:37 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:19:21 Mavet_la_grosse a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:18:43 Eddy_Puss a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:05:00 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:59:51 Tipiak21 a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:56:26 oupsjairater a écrit :
c'est d'autant plus intelligent que le livre date de 1998

À l'époque c'était 2/3 machos qu'elles se tapaient, maintenant c'est bien plus

« Du point de vue amoureux Véronique appartenait, comme nous tous, à une génération sacrifiée. Elle avait certainement été capable d'amour; elle aurait souhaité en être encore capable, je lui rends ce témoignage; mais cela n'était plus possible.

Phénomène rare, artificiel et tardif, l'amour ne peut s'épanouir que dans des conditions mentales spéciales, rarement réunies, en tous points opposées à la liberté de mœurs qui caractérise l'époque moderne. Véronique avait connu trop de discothèques et d'amants; un tel mode de vie appauvrit l'être humain, lui infligeant des dommages parfois graves et toujours irréversibles.

L'amour comme innocence et comme capacité d'illusion, comme aptitude à résumer l'ensemble de l'autre sexe à un seul être aimé, résiste rarement à une année de vagabondage sexuel, jamais à deux.

En réalité, les expériences sexuelles successives accumulées au cours de l'adolescence minent et détruisent rapidement toute possibilité de projection d'ordre sentimental et romanesque; progressivement, et en fait assez vite, on devient aussi capable d'amour qu'un vieux torchon. Et on mène ensuite, évidemment, une vie de torchon; en vieillissant on devient moins séduisant, et de ce fait amer. On jalouse les jeunes, et de ce fait on les hait. Cette haine, condamnée à rester inavouable, s'envenime et devient de plus en plus ardente; puis elle s'amortit et s'éteint, comme tout s'éteint. Il ne reste plus que l'amertume et le dégoût, la maladie et l'attente de la mort. »

Michel Houellebecq. « Extension du domaine de la lutte. »

Bordel sacré RedPill ce pavé sur les féministes...

Il te reste ta mère en ce qui te concerne

Qu'est-ce que tu baragouines ?

Le forumer Eddy_Puss est attiré par sa mère. Dans un topic qui a été supprimé il explique qu'il aimerait coucher avec sa mère mais qu'il ne sait pas comment

Je vois, j'espère qu'il pourra trouver un jour le moyen de la baiser

Magnifique

Le 18 mars 2021 à 17:23:57 Mavet_la_grosse a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:22:27 Eddy_Puss a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:19:21 Mavet_la_grosse a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:18:43 Eddy_Puss a écrit :

Le 18 mars 2021 à 17:05:00 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:59:51 Tipiak21 a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:56:26 oupsjairater a écrit :
c'est d'autant plus intelligent que le livre date de 1998

À l'époque c'était 2/3 machos qu'elles se tapaient, maintenant c'est bien plus

« Du point de vue amoureux Véronique appartenait, comme nous tous, à une génération sacrifiée. Elle avait certainement été capable d'amour; elle aurait souhaité en être encore capable, je lui rends ce témoignage; mais cela n'était plus possible.

Phénomène rare, artificiel et tardif, l'amour ne peut s'épanouir que dans des conditions mentales spéciales, rarement réunies, en tous points opposées à la liberté de mœurs qui caractérise l'époque moderne. Véronique avait connu trop de discothèques et d'amants; un tel mode de vie appauvrit l'être humain, lui infligeant des dommages parfois graves et toujours irréversibles.

L'amour comme innocence et comme capacité d'illusion, comme aptitude à résumer l'ensemble de l'autre sexe à un seul être aimé, résiste rarement à une année de vagabondage sexuel, jamais à deux.

En réalité, les expériences sexuelles successives accumulées au cours de l'adolescence minent et détruisent rapidement toute possibilité de projection d'ordre sentimental et romanesque; progressivement, et en fait assez vite, on devient aussi capable d'amour qu'un vieux torchon. Et on mène ensuite, évidemment, une vie de torchon; en vieillissant on devient moins séduisant, et de ce fait amer. On jalouse les jeunes, et de ce fait on les hait. Cette haine, condamnée à rester inavouable, s'envenime et devient de plus en plus ardente; puis elle s'amortit et s'éteint, comme tout s'éteint. Il ne reste plus que l'amertume et le dégoût, la maladie et l'attente de la mort. »

Michel Houellebecq. « Extension du domaine de la lutte. »

Bordel sacré RedPill ce pavé sur les féministes...

Il te reste ta mère en ce qui te concerne

Oui je suis pas venu au monde pour mourir puceau
J'ai ni le physique ni le caractère d'un mâle alpha
C'est la seule femme qui me trahira jamais et c'est une 8.5/10.

Viens en MP et on essaye tout les deux de réfléchir à un moyen de t'aider

D'accord je note ton pseudo. Je te recontacterai ultérieurement.

Le 18 mars 2021 à 17:05:17 Eddy_Puss a écrit :
Je me demande pourquoi les femmes élèvent des fils féministes. À part si ils sont très BG, elles savent qu'ils ont 99% de chances de finir puceaux (ou pire Jonathan Daval) toute leur vie. C'est quoi le projet des mamans?

Parce que les femmes n'èlevent pas leurs enfants dans le but qu'ils deviennent des hommes. Ça, c'est la tâche du père.

C'est pour cela que dans notre monde où il y a de moins en moins de pères, il y a de plus en plus de "simps".

Le 18 mars 2021 à 17:05:00 SpleenDeChofa a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:59:51 Tipiak21 a écrit :

Le 18 mars 2021 à 16:56:26 oupsjairater a écrit :
c'est d'autant plus intelligent que le livre date de 1998

À l'époque c'était 2/3 machos qu'elles se tapaient, maintenant c'est bien plus

« Du point de vue amoureux Véronique appartenait, comme nous tous, à une génération sacrifiée. Elle avait certainement été capable d'amour; elle aurait souhaité en être encore capable, je lui rends ce témoignage; mais cela n'était plus possible.

Phénomène rare, artificiel et tardif, l'amour ne peut s'épanouir que dans des conditions mentales spéciales, rarement réunies, en tous points opposées à la liberté de mœurs qui caractérise l'époque moderne. Véronique avait connu trop de discothèques et d'amants; un tel mode de vie appauvrit l'être humain, lui infligeant des dommages parfois graves et toujours irréversibles.

L'amour comme innocence et comme capacité d'illusion, comme aptitude à résumer l'ensemble de l'autre sexe à un seul être aimé, résiste rarement à une année de vagabondage sexuel, jamais à deux.

En réalité, les expériences sexuelles successives accumulées au cours de l'adolescence minent et détruisent rapidement toute possibilité de projection d'ordre sentimental et romanesque; progressivement, et en fait assez vite, on devient aussi capable d'amour qu'un vieux torchon. Et on mène ensuite, évidemment, une vie de torchon; en vieillissant on devient moins séduisant, et de ce fait amer. On jalouse les jeunes, et de ce fait on les hait. Cette haine, condamnée à rester inavouable, s'envenime et devient de plus en plus ardente; puis elle s'amortit et s'éteint, comme tout s'éteint. Il ne reste plus que l'amertume et le dégoût, la maladie et l'attente de la mort. »

Michel Houellebecq. « Extension du domaine de la lutte. »