Je trouves vos films / séries / animes etc ...
Le 01 avril 2021 à 19:45:03 Kasslantien a écrit :
The Youth Killer (1976) de Kazuhiko Hasegawa
Le 01 avril 2021 à 19:52:54 Troudouzbek a écrit :
Salut champion ! Tu pourrais me trouver ces Walt Disney stp :- La Belle aux Bois Dormants
- Blanche Neige
- Dumbo
- Bambi
- PinocchioEn version originale si possible, sinon en remasterisée je prends aussi ( en VF dans tous les cas )
Slt,
Je cherche le nom d'un film dont j'avais vu un extrait
Un mec habillé en costume qui est sur le rebord et qui dit qu'il va se suicider mais il me semble que c'est une diversion pour son équipe
L'éternel mari de Dostoïevski
Ce sont des notes personnelles sur le roman, pas vraiment autre chose.
Excellente dualité, un vrai-faux triangle, un homme-bête soit Veltchaninov qui trouve le salut par l'expiation de ses péchés, par la mort de Lisa, sa fille.
Un bouffon jouant de son statut pour annihiler son adversaire, connaissant tout ce qu'il y a à savoir mais n'en dévoilant rien.
Un Veltchaninov résolvant l'affaire, éclairant le lecteur. Une comédie sans fin aux marionnettes interchangeables.
Un übermensch peinant à détruire son piètre adversaire, tout est tellement ironique.
D'ailleurs dans L'éternel mari le génie littéraire de Dostoïevski s'exprime pleinement et véritablement, pourtant il a été conspué par la critique de l'époque.
En réalité, notre auteur Russe s'amuse à ANNIHILER les codes du Vaudeville et dans un même temps les respecter !
Je m'explique, le mari, l'amant, la femme énormément de rebondissements, aucune psychologie seulement du comique léger constituent le Vaudeville, un genre théâtral.
En ces termes, Dostoïevski installe l'amant ( Veltchaninov ) et le mari ( Pavel Pavlovitch ) sauf que la femme est morte, et est remplacée par Lisa une enfant de neuf ans, qui installe la féminité et non la femme ; d'ailleurs elle sera très vite éclipsée mais son importance n'en est pas diminuée !
Aussi Dostoïevski nous fait part de la psychologie des hommes tout en les étouffant dans une ville et les faisant courir de part en part de cette dernière, mais comme à son habitude, la psychologie féminine restera obscure.
Le 02 avril 2021 à 01:05:28 Travie-Mccoy a écrit :
Je cherche le film gone baby gone
mp
Le 02 avril 2021 à 17:29:10 Arsenicpussy a écrit :
L'éternel mari de DostoïevskiCe sont des notes personnelles sur le roman, pas vraiment autre chose.
Excellente dualité, un vrai-faux triangle, un homme-bête soit Veltchaninov qui trouve le salut par l'expiation de ses péchés, par la mort de Lisa, sa fille.
Un bouffon jouant de son statut pour annihiler son adversaire, connaissant tout ce qu'il y a à savoir mais n'en dévoilant rien.
Un Veltchaninov résolvant l'affaire, éclairant le lecteur. Une comédie sans fin aux marionnettes interchangeables.
Un übermensch peinant à détruire son piètre adversaire, tout est tellement iroaime.
Le 02 avril 2021 à 19:40:04 Arsenicpussy a écrit :
D'ailleurs dans L'éternel mari le génie littéraire de Dostoïevski s'exprime pleinement et véritablement, pourtant il a été conspué par la critique de l'époque.En réalité, notre auteur Russe s'amuse à ANNIHILER les codes du Vaudeville et dans un même temps les respecter !
Je m'explique, le mari, l'amant, la femme énormément de rebondissements, aucune psychologie seulement du comique léger constituent le Vaudeville, un genre théâtral.
En ces termes, Dostoïevski installe l'amant ( Veltchaninov ) et le mari ( Pavel Pavlovitch ) sauf que la femme est morte, et est remplacée par Lisa une enfant de neuf ans, qui installe la féminité et non la femme ; d'ailleurs elle sera très vite éclipsée mais son importance n'en est pas diminuée !
Aussi Dostoïevski nous fait part de la psychologie des hommes tout en les étouffant dans une ville et les faisant courir de part en part de cette dernière, mais comme à son habitude, la psychologie féminine restera obscure.
Très belle analyse kheyou, celle ci est particulièrement bien amenée je trouves je sais pas pourquoi j'ai pris beaucoup de plaisir à la lire ( pourtant j'ai pas vu le film ni vu l'oeuvre ).
Continues de nous régaler avec tes petits papiers je suis sûr que je suis pas le seul à me poser devant
Le 02 avril 2021 à 19:40:45 DriftKing51 a écrit :
Toujours entrain de rendre service au fofo,respect
Toujours ma poule, je suis plus là le soir en ce moment mais toujours là
Le 02 avril 2021 à 07:31:59 Kasslantien a écrit :
Garden of Hedon (2011) de Kevin Kangas
Le 02 avril 2021 à 20:57:02 N000Pantera5 a écrit :
Le 02 avril 2021 à 17:29:10 Arsenicpussy a écrit :
L'éternel mari de DostoïevskiCe sont des notes personnelles sur le roman, pas vraiment autre chose.
Excellente dualité, un vrai-faux triangle, un homme-bête soit Veltchaninov qui trouve le salut par l'expiation de ses péchés, par la mort de Lisa, sa fille.
Un bouffon jouant de son statut pour annihiler son adversaire, connaissant tout ce qu'il y a à savoir mais n'en dévoilant rien.
Un Veltchaninov résolvant l'affaire, éclairant le lecteur. Une comédie sans fin aux marionnettes interchangeables.
Un übermensch peinant à détruire son piètre adversaire, tout est tellement iroaime.
Le 02 avril 2021 à 19:40:04 Arsenicpussy a écrit :
D'ailleurs dans L'éternel mari le génie littéraire de Dostoïevski s'exprime pleinement et véritablement, pourtant il a été conspué par la critique de l'époque.En réalité, notre auteur Russe s'amuse à ANNIHILER les codes du Vaudeville et dans un même temps les respecter !
Je m'explique, le mari, l'amant, la femme énormément de rebondissements, aucune psychologie seulement du comique léger constituent le Vaudeville, un genre théâtral.
En ces termes, Dostoïevski installe l'amant ( Veltchaninov ) et le mari ( Pavel Pavlovitch ) sauf que la femme est morte, et est remplacée par Lisa une enfant de neuf ans, qui installe la féminité et non la femme ; d'ailleurs elle sera très vite éclipsée mais son importance n'en est pas diminuée !
Aussi Dostoïevski nous fait part de la psychologie des hommes tout en les étouffant dans une ville et les faisant courir de part en part de cette dernière, mais comme à son habitude, la psychologie féminine restera obscure.
Très belle analyse kheyou, celle ci est particulièrement bien amenée je trouves je sais pas pourquoi j'ai pris beaucoup de plaisir à la lire ( pourtant j'ai pas vu le film ni vu l'oeuvre ).
Continues de nous régaler avec tes petits papiers je suis sûr que je suis pas le seul à me poser devant
Merci kheyou ça fait plaisir, j'ai fait au mieux.
Le 02 avril 2021 à 21:10:19 Arsenicpussy a écrit :
Le 02 avril 2021 à 20:57:02 N000Pantera5 a écrit :
Le 02 avril 2021 à 17:29:10 Arsenicpussy a écrit :
L'éternel mari de DostoïevskiCe sont des notes personnelles sur le roman, pas vraiment autre chose.
Excellente dualité, un vrai-faux triangle, un homme-bête soit Veltchaninov qui trouve le salut par l'expiation de ses péchés, par la mort de Lisa, sa fille.
Un bouffon jouant de son statut pour annihiler son adversaire, connaissant tout ce qu'il y a à savoir mais n'en dévoilant rien.
Un Veltchaninov résolvant l'affaire, éclairant le lecteur. Une comédie sans fin aux marionnettes interchangeables.
Un übermensch peinant à détruire son piètre adversaire, tout est tellement iroaime.
Le 02 avril 2021 à 19:40:04 Arsenicpussy a écrit :
D'ailleurs dans L'éternel mari le génie littéraire de Dostoïevski s'exprime pleinement et véritablement, pourtant il a été conspué par la critique de l'époque.En réalité, notre auteur Russe s'amuse à ANNIHILER les codes du Vaudeville et dans un même temps les respecter !
Je m'explique, le mari, l'amant, la femme énormément de rebondissements, aucune psychologie seulement du comique léger constituent le Vaudeville, un genre théâtral.
En ces termes, Dostoïevski installe l'amant ( Veltchaninov ) et le mari ( Pavel Pavlovitch ) sauf que la femme est morte, et est remplacée par Lisa une enfant de neuf ans, qui installe la féminité et non la femme ; d'ailleurs elle sera très vite éclipsée mais son importance n'en est pas diminuée !
Aussi Dostoïevski nous fait part de la psychologie des hommes tout en les étouffant dans une ville et les faisant courir de part en part de cette dernière, mais comme à son habitude, la psychologie féminine restera obscure.
Très belle analyse kheyou, celle ci est particulièrement bien amenée je trouves je sais pas pourquoi j'ai pris beaucoup de plaisir à la lire ( pourtant j'ai pas vu le film ni vu l'oeuvre ).
Continues de nous régaler avec tes petits papiers je suis sûr que je suis pas le seul à me poser devantMerci kheyou ça fait plaisir, j'ai fait au mieux.
T'as rien à envier aux vieux shnocks de télérama C'est très agréable à lire ( après en terme de critique j'ai pas les compétences cinématographies pour clasher ton analyse je laisses ça aux cinéphiles experts )
Le 02 avril 2021 à 21:10:39 Kasslantien a écrit :
The Two of Us (1967) de Claude Berri
[21:14:44] <N000Pantera5>
Le 02 avril 2021 à 21:10:19 Arsenicpussy a écrit :
Le 02 avril 2021 à 20:57:02 N000Pantera5 a écrit :
Le 02 avril 2021 à 17:29:10 Arsenicpussy a écrit :
L'éternel mari de DostoïevskiCe sont des notes personnelles sur le roman, pas vraiment autre chose.
Excellente dualité, un vrai-faux triangle, un homme-bête soit Veltchaninov qui trouve le salut par l'expiation de ses péchés, par la mort de Lisa, sa fille.
Un bouffon jouant de son statut pour annihiler son adversaire, connaissant tout ce qu'il y a à savoir mais n'en dévoilant rien.
Un Veltchaninov résolvant l'affaire, éclairant le lecteur. Une comédie sans fin aux marionnettes interchangeables.
Un übermensch peinant à détruire son piètre adversaire, tout est tellement iroaime.
Le 02 avril 2021 à 19:40:04 Arsenicpussy a écrit :
D'ailleurs dans L'éternel mari le génie littéraire de Dostoïevski s'exprime pleinement et véritablement, pourtant il a été conspué par la critique de l'époque.En réalité, notre auteur Russe s'amuse à ANNIHILER les codes du Vaudeville et dans un même temps les respecter !
Je m'explique, le mari, l'amant, la femme énormément de rebondissements, aucune psychologie seulement du comique léger constituent le Vaudeville, un genre théâtral.
En ces termes, Dostoïevski installe l'amant ( Veltchaninov ) et le mari ( Pavel Pavlovitch ) sauf que la femme est morte, et est remplacée par Lisa une enfant de neuf ans, qui installe la féminité et non la femme ; d'ailleurs elle sera très vite éclipsée mais son importance n'en est pas diminuée !
Aussi Dostoïevski nous fait part de la psychologie des hommes tout en les étouffant dans une ville et les faisant courir de part en part de cette dernière, mais comme à son habitude, la psychologie féminine restera obscure.
Très belle analyse kheyou, celle ci est particulièrement bien amenée je trouves je sais pas pourquoi j'ai pris beaucoup de plaisir à la lire ( pourtant j'ai pas vu le film ni vu l'oeuvre ).
Continues de nous régaler avec tes petits papiers je suis sûr que je suis pas le seul à me poser devantMerci kheyou ça fait plaisir, j'ai fait au mieux.
T'as rien à envier aux vieux shnocks de télérama C'est très agréable à lire ( après en terme de critique j'ai pas les compétences cinématographies pour clasher ton analyse je laisses ça aux cinéphiles experts )
C'est un roman cette fois-ci mais j'entends bien !
Le 02 avril 2021 à 23:17:42 Gratindefaire3 a écrit :
shojo tsubaki (92) en vostfr
mp
Données du topic
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- N000Pantera2
- Date de création
- 28 janvier 2021 à 06:20:58
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