Le moment le plus GLAUQUE de votre vie ?
Le 21 juin 2020 à 19:31:32 jaxtaylor8 a écrit :
Le 21 juin 2020 à 18:48:47 dieudosoleil a écrit :
J'ai vécu ça https://www.youtube.com/watch?v=5x47bFwhwBM en direct, et j'ai vu la personne courant loin de l'avion, en train de bruler...La personne a survécu ou pas ?
Il est gravement brulé, le pilote lui est décédé.
Après manger, avec un pote et son frère on décide d'aller faire un basket, sauf que le terrain en question est à plusieurs kilomètres. Nous n'avions pas de voiture. C'est alors que mes potes me rassurent en me proposant un plan. Un 'ami" à eux peut nous prendre en voiture pour nous y amener.
Ce fameux ami arrive, je rentre dans la voiture et à ma grande surprise, c'est un vieil homme de 78 ans qui nous amène. Plus tard ils m'expliqueront qu'ils l'ont rencontré quand ils avaient fais de l'auto-stop.
Bref ce petit vieux me connaissait pas, mais il était très avenant. Mon ami à la place avant se faisaient toucher la cuisse par le vieux sous mes yeux. J'étais choqué, mais c'était une sorte de jeux entre eux, un peu comme deux potes qui se touchent la cuisse pour rire. Je me prête au jeu pour charier le vieux ainsi que mon ami. En gros le frère de mon pote et moi se foutions de la gueule de mon pote à l'avant qui était géné mais le prenait avec le sourire.
Ils nous déposent, on se fait un basket puis vient nous récupérer.
Imprévu, le petit vieux nous demande de sortir la voile de son voilier car à son âge c'est pas facile... C'était une façon pour nous de rendre service pour le trajet. Bien-sür tout le long du trajet, c'était cette fois-ci moi à l'avant. Il faisait que des références au cul, et essayait de me toucher la cuisse pendant qu'il conduisait mais je refusais catégoriquement. A ce moment là j'étais en sueur, je me sentais pas bien, je ressentais plus ça comme un jeu, c'était juste malsain.
Arrivés au bateau, nous mettons la voile, et il décide de nous payer un verre sur son bateau. Je vous cache pas qu'il a essayé de me connaître, en commençant par me poser des questions sur mon orientation sexuelle, mes expériences sexuelles ect... Bref c'était un sujet à sens unique. A côté mes potes rigolent, voient que je suis géné et surenchérissent avec d'autres questions gênantes. Ils ne ressentaient pas la chose comme moi je la ressentais.
Puis arrive le moment fatidique. Il veut me faire visiter la soute de son bateau. Mes potes pour rire, veulent que j'y aille seul avec le vieux. Je ne peux pas refuser. Je descends avec lui et petit à petit l'atmosphère devient gloque. Il m'amène dans sa chambre et se met entre moi et la porte, je ne peux pas quitter cette chambre déjà très étroite. Il me fait des avances indirectes du type "tu voudrais pas passer une nuit avec moi dans ce bateau ?" J'avais la chaire de poule. Il m'avait mis dans une malaise. Faut savoir qu'il était plus physique que moi même à 78 ans ( je fais un 1M75 et lui 1m85 je dirai ) et surtout une tête vraiment de psychopathe. Je suis resté courtois en lui expliquant que j'étais hétéro et que ce n'était pas possible. Il m'a alors expliqué qu'il était comme moi quand il était jeune mais qu'il a changé pour voir de nouvelles horizons... pour finir par me prendre dans ses bras et qu'il était heureux d'avoir fait connaissance avec moi. Ca m"a marqué...
Après ce passage on est remonté, puis je suis rentré chez moi. Je n'ai porté plainte car en soit il n'a rien fait de mal. Mais je suis certains qu'il a un historique d'agresseur sexuel. Il aurait eu 30 ans de moins et seul, je ne vous cache pas que je ne sais pas ce qui aurait pu bien se passer. Çà se voyait dans son regard. D'ailleurs, il avait pris mon numéros grâce à mes potes qui l'aiment bien (malgré leur avoir expliqué cette histoire...) . Il m'a appelé 2-3 fois pour prendre des nouvelles ect... Bref très flippant.
Le 14 juin 2020 à 12:22:28 KuririnNoKotoka a écrit :
Il y a plusieurs années, j'entrais dans le garage d'un pote en l'attendant pour sortir, dès le début j'ai senti que quelque chose n'était pas normal.J'attends en restant pas loin de la porte, son chat sort en courant du garage, j'attends en écoutant les bruits autour de moi, tout mes sens étaient vraiment en alerte sans que je sache pourquoi.
Et là je m'écroule au sol, je rampe pour sortir du garage, j'ai l'impression de peser des centaines de kilos, j'ai l'impression que quelque chose me tire.
Je réussi à sortir du garage et tout s'arrête, tout va bien, mais ni son chat ni moi ne voulons retourner dans ce garage, mon pote est arrivé à la seconde où je suis sorti du garage.
Je ne saurais jamais ce qu'il y avait vraiment mais je peux garantir qu'il y avait une chose anormale là-bas
Quand j'avais environ 8 ans, on a visité des ruines, la Villa Adriana près de Rome, avec mes parents et ma soeur. À un moment je me suis retrouvé isolé du reste de ma famille et il n'y avait aucun autre visiteur autour de moi. Je marchais sur un chemin longé par un muret sur ma gauche. Au delà de ce muret, il y avait du vide sur peut être 10m.
Tout à coup, je me suis senti poussé par une masse énorme, mais c'était pas du vent car je sentais pas le souffle. Je suis resté debout, la masse me poussait par tout l'arrière du corps, dos, tête, bras, jambe, et m'entraînait droit vers le muret. J'essayais de résister en tentant de reculer de force, mais j'arrivais à peine à ralentir la progression.
À un moment j'arrive au niveau du muret, et croyez le ou pas, j'essaie de m'y raccrocher comme je peux avec mes bras, mais c'est comme si cette masse qui me pousse depuis le début se mettait à soulever ma jambe droite et je me retrouve à m'agripper au muret avec le bras gauche et la jambe gauche, tandis le bras droit et la jambe droite commencent à passer par dessus. En gros je suis presque allongé à cheval sur le muret, avec le vide qui m'attend.
Dans ma tête c'est la panique même si ça va très vite, une dizaine de secondes depuis le moment où j'ai commencé à sentir la poussée. Je comprends rien, juste je lutte pour pas tomber. Puis tout à coup j'entends la voix de mes parents et de ma soeur qui approchent. Et là la poussée cesse, je reviens sur le chemin et je pars retrouver ma famille.
J'ai rien dit sur le moment parce que j'étais sous le choc, j'ai vraiment cru que j'allais tomber, et je savais pas comment raconter ce qui venait de se passer. Des années plus tard, j'en ai parlé à ma mère, elle m'a dit qu'elle se souvenait m'avoir perdu de vue dans ces ruines, et qu'ils avaient remarqué que j'étais pâle en me retrouvant.
PS : J'avais retrouvé le chat après
Allez, une petite contribution en plus à ce topic légendaire. Pas la plus glauque, mais bon pour le topic, je pense.
Il y a maintenant environ 2 ans, je me promenais dans le jardin des Tuileries, à Paris, avec ma dulcinée. C'est relativement tôt le matin, et tout est encore donc presque vide. Nous discutons sur un banc, quand soudain, depuis le surplomb longeant la Seine, un couple de joggeurs à chien (les parisiens ne connaissent que trop bien cette race) nous appelle : "Hé, vous ! Vous seriez pas secouristes ?"
Non, bien sûr. Mais nous montons. Là, il y a un homme d'environ 70 ans, allongé la face contre terre, avec encore dans sa main le bout de la laisse de son propre berger qui grogne pour défendre son maître. Les joggeurs parviennent à ramasser la laisse et à l'attacher à un arbre non-loin, pendant que nous constatons que ledit monsieur respire toujours, a perdu connaissance, et surtout a le visage maculé de sang.
Ça part en PLS + allô les pompiers.
Trafic parisien oblige (merci madame Hidalgo et la suppression des quais de Seine), les pompiers prennent plus de 40 minutes pour arriver.
Entre-temps, un autre promeneur arrivé quelques minutes après nous (et lui formé au secourisme) avait entrepris un bouche-à-bouche, le fameux monsieur ayant arrêté de respirer. Ah, et bien entendu, le couple de joggeurs à chiens en a profité pour filer avec leurs deux cabots respectifs.
Les pompiers arrivent, reprennent le bouche à bouche, puis entament un massage cardiaque. Sans succès. C'est certainement un détail pour tous ceux qui travaillent dans le médical, mais je me souviens de la chemise déchirée de ce digne monsieur, et des formidables vas-et-viens de son ventre au rythme des pressions du pompier sur son thorax. Sa face avait été plus ou moins essuyée, et il avait ouvert les yeux. Le bougre s'est éteint. Paix à son âme.
La police avait eu le temps d'arriver et, décès sur la voie publique oblige, sachant que les joggeurs à chien s'étaient défilés, j'étais alors le "premier témoin" et donc convoqué au poste pour dépôt de déposition. Pour tout dire, la police soupçonnait les chiens des joggeurs d'avoir attaqué le monsieur, mais le légiste conclura simplement à un AVC hémorragique parfaitement naturel (d'où un super saignement de nez qui a en avait foutu partout).
Je me souviens de la tête du policier à la fin de notre discussion dans le jardin, alors que le cadavre était encore en plan, entouré des pompiers.
C'est bon. Merci monsieur. Vous pouvez partir maintenant.
Ah, non. Avant que les pompiers arrivent, j'ai fait un coussin avec mon manteau que j'ai mis sous la tête du monsieur. Quand ce sera possible, je récupérerai mon manteau.
Mais... Il est plein de sang, le manteau.
Et je pars pas sans mon manteau.
Sans déconner...
Il a fallu insister un peu, mais un pompier a fini par me le remettre, dans un sac en plastique. C'était un magnifique manteau Quechua random et bien usé. Mais c'était mon manteau, quoi.
90°C en machine. On ne voit presque plus les traces aujourd'hui. Seul bémol : j'avais les frères Karamazov (Dostoïevski ; à lire et relire, les caillous) dans la poche dudit manteau. J'ai pu achever le bouquin malgré les traces brunâtres, mais parfois c'était un petit peu laborieux.
Allez, une petite contribution en plus à ce topic légendaire. Pas la plus glauque, mais bon pour le topic, je pense.
Je revenais de ma journée au collège, au moment de rentrer chez moi je sentais une atmosphère bizarre je me retourne et je vois un type me suivre, il avais lair un peu âgé mais pas tant que ca .
Le problème c'est que il prenais les même rue que moi pour faire un test jai pris des rues au hasard pour voir si il continuer a me suivre a ma grande surprise il me suivais encore je savais que si je rentrais chez moi jallais etre foutu car jetais seul et il pouvait me faire ce qu'il voulais . Du coup j'ai commencé a accélérer le pas et lui sur le coup jetais en sueur car j'avais vraiment peur et c'est compliqué de trouver une solotion et de l'appliquer quand tu flippe , bref je commence a courir et je me cache dans un buisson histoire de reprendre mon souffle
Type : J'ai perdu le gosse de vue on ressayera la prochaine fois a 3 Sébastien
A ce moment la j'avais une douleur au coeur je flipper trop jai attendu 2 heure dans le buisson et je suis rentrer chez moi
Le 24 juin 2020 à 21:50:35 Troglonaute14 a écrit :
J'ai mis mol histoire clé
C'était quand j'avais la vingtaine
Je dormais souvent chez un pote qui vivait seul dans une grande maison (mère décédée jeune et père en déplacement 3 semaine sur 4 par mois)
Maison très belle et ancienne, tres grande aussi, meublé avec beaucoup de meubles ancien, de valeur mais aussi beaucoup de décorations assez originales et onéreuse.
Mais la maison en elle-même dégageait une aura assez froide.
Des la première fois où je l'ai vu depuis la rue la maison me faisait flipper et elle fait cet effet a tout le monde d'ailleurs.
La maison semble toujours inhospitalière, comme si quelque chose ne voulait pas être dérangé et te le faisait bien comprendre.
Mais le pire c'est la chambre dans laquelle mon pote me faisait dormir.
Une grande chambre toute en longueur avec une immense armoire d'un côté, un coiffeuse avec glace de l'autre et le lit double au milieux avec un fauteuil en face du lit.
Le lot était toujours glacé, froid, pas accueillant du tout, et la chambre dégageait des "ondes" particulières, sensations d'être observé toute la nuit, bruits chelou (très rares mais déjà arrivé dans le couloir), cauchemars fréquents etc.
J'avais horreur de dormir dans cette chambre et dans ce lit qui n'était jamais chaleureux comme devrait l'être un bon lit.
Jusqu'au jours où au détour d'une conversation mon pote m'avoue que depuis tout ce temps le lit dans lequel il me faisait dormir est le lit dans lequel sa mère était décédé et dans lequel son corps a attendu l'arrivé des pompes funèbres.
A ce moment là tout faisait sens pour moi, et un sacré frisson avait traversé nuque, je n'ai plus jamais accepté de dormir dans cette chambre depuis.
Et je précise que je suis quelqu'un qui ne croyait pas spécialement à ce genre de chose à l'époque..
Le 25 juin 2020 à 01:16:50 Troglonaute14 a écrit :
Le 25 juin 2020 à 01:15:40 Troglonaute14 a écrit :
J'ai raconté mon histoire khey
Le 24 juin 2020 à 17:25:22 AAA_Robert a écrit :
Allez, une petite contribution en plus à ce topic légendaire. Pas la plus glauque, mais bon pour le topic, je pense.Il y a maintenant environ 2 ans, je me promenais dans le jardin des Tuileries, à Paris, avec ma dulcinée. C'est relativement tôt le matin, et tout est encore donc presque vide. Nous discutons sur un banc, quand soudain, depuis le surplomb longeant la Seine, un couple de joggeurs à chien (les parisiens ne connaissent que trop bien cette race) nous appelle : "Hé, vous ! Vous seriez pas secouristes ?"
Non, bien sûr. Mais nous montons. Là, il y a un homme d'environ 70 ans, allongé la face contre terre, avec encore dans sa main le bout de la laisse de son propre berger qui grogne pour défendre son maître. Les joggeurs parviennent à ramasser la laisse et à l'attacher à un arbre non-loin, pendant que nous constatons que ledit monsieur respire toujours, a perdu connaissance, et surtout a le visage maculé de sang.
Ça part en PLS + allô les pompiers.
Trafic parisien oblige (merci madame Hidalgo et la suppression des quais de Seine), les pompiers prennent plus de 40 minutes pour arriver.
Entre-temps, un autre promeneur arrivé quelques minutes après nous (et lui formé au secourisme) avait entrepris un bouche-à-bouche, le fameux monsieur ayant arrêté de respirer. Ah, et bien entendu, le couple de joggeurs à chiens en a profité pour filer avec leurs deux cabots respectifs.Les pompiers arrivent, reprennent le bouche à bouche, puis entament un massage cardiaque. Sans succès. C'est certainement un détail pour tous ceux qui travaillent dans le médical, mais je me souviens de la chemise déchirée de ce digne monsieur, et des formidables vas-et-viens de son ventre au rythme des pressions du pompier sur son thorax. Sa face avait été plus ou moins essuyée, et il avait ouvert les yeux. Le bougre s'est éteint. Paix à son âme.
La police avait eu le temps d'arriver et, décès sur la voie publique oblige, sachant que les joggeurs à chien s'étaient défilés, j'étais alors le "premier témoin" et donc convoqué au poste pour dépôt de déposition. Pour tout dire, la police soupçonnait les chiens des joggeurs d'avoir attaqué le monsieur, mais le légiste conclura simplement à un AVC hémorragique parfaitement naturel (d'où un super saignement de nez qui a en avait foutu partout).
Je me souviens de la tête du policier à la fin de notre discussion dans le jardin, alors que le cadavre était encore en plan, entouré des pompiers.
C'est bon. Merci monsieur. Vous pouvez partir maintenant.
Ah, non. Avant que les pompiers arrivent, j'ai fait un coussin avec mon manteau que j'ai mis sous la tête du monsieur. Quand ce sera possible, je récupérerai mon manteau.
Mais... Il est plein de sang, le manteau.
Et je pars pas sans mon manteau.
Sans déconner...
Il a fallu insister un peu, mais un pompier a fini par me le remettre, dans un sac en plastique. C'était un magnifique manteau Quechua random et bien usé. Mais c'était mon manteau, quoi.
90°C en machine. On ne voit presque plus les traces aujourd'hui. Seul bémol : j'avais les frères Karamazov (Dostoïevski ; à lire et relire, les caillous) dans la poche dudit manteau. J'ai pu achever le bouquin malgré les traces brunâtres, mais parfois c'était un petit peu laborieux.
Le 23 juin 2020 à 22:31:57 iamgrunt36 a écrit :
C'est surement l'un des plus gros malaises de ma vie, je vous explique.
Après manger, avec un pote et son frère on décide d'aller faire un basket, sauf que le terrain en question est à plusieurs kilomètres. Nous n'avions pas de voiture. C'est alors que mes potes me rassurent en me proposant un plan. Un 'ami" à eux peut nous prendre en voiture pour nous y amener.
Ce fameux ami arrive, je rentre dans la voiture et à ma grande surprise, c'est un vieil homme de 78 ans qui nous amène. Plus tard ils m'expliqueront qu'ils l'ont rencontré quand ils avaient fais de l'auto-stop.
Bref ce petit vieux me connaissait pas, mais il était très avenant. Mon ami à la place avant se faisaient toucher la cuisse par le vieux sous mes yeux. J'étais choqué, mais c'était une sorte de jeux entre eux, un peu comme deux potes qui se touchent la cuisse pour rire. Je me prête au jeu pour charier le vieux ainsi que mon ami. En gros le frère de mon pote et moi se foutions de la gueule de mon pote à l'avant qui était géné mais le prenait avec le sourire.
Ils nous déposent, on se fait un basket puis vient nous récupérer.
Imprévu, le petit vieux nous demande de sortir la voile de son voilier car à son âge c'est pas facile... C'était une façon pour nous de rendre service pour le trajet. Bien-sür tout le long du trajet, c'était cette fois-ci moi à l'avant. Il faisait que des références au cul, et essayait de me toucher la cuisse pendant qu'il conduisait mais je refusais catégoriquement. A ce moment là j'étais en sueur, je me sentais pas bien, je ressentais plus ça comme un jeu, c'était juste malsain.
Arrivés au bateau, nous mettons la voile, et il décide de nous payer un verre sur son bateau. Je vous cache pas qu'il a essayé de me connaître, en commençant par me poser des questions sur mon orientation sexuelle, mes expériences sexuelles ect... Bref c'était un sujet à sens unique. A côté mes potes rigolent, voient que je suis géné et surenchérissent avec d'autres questions gênantes. Ils ne ressentaient pas la chose comme moi je la ressentais.
Puis arrive le moment fatidique. Il veut me faire visiter la soute de son bateau. Mes potes pour rire, veulent que j'y aille seul avec le vieux. Je ne peux pas refuser. Je descends avec lui et petit à petit l'atmosphère devient gloque. Il m'amène dans sa chambre et se met entre moi et la porte, je ne peux pas quitter cette chambre déjà très étroite. Il me fait des avances indirectes du type "tu voudrais pas passer une nuit avec moi dans ce bateau ?" J'avais la chaire de poule. Il m'avait mis dans une malaise. Faut savoir qu'il était plus physique que moi même à 78 ans ( je fais un 1M75 et lui 1m85 je dirai ) et surtout une tête vraiment de psychopathe. Je suis resté courtois en lui expliquant que j'étais hétéro et que ce n'était pas possible. Il m'a alors expliqué qu'il était comme moi quand il était jeune mais qu'il a changé pour voir de nouvelles horizons... pour finir par me prendre dans ses bras et qu'il était heureux d'avoir fait connaissance avec moi. Ca m"a marqué...
Après ce passage on est remonté, puis je suis rentré chez moi. Je n'ai porté plainte car en soit il n'a rien fait de mal. Mais je suis certains qu'il a un historique d'agresseur sexuel. Il aurait eu 30 ans de moins et seul, je ne vous cache pas que je ne sais pas ce qui aurait pu bien se passer. Çà se voyait dans son regard. D'ailleurs, il avait pris mon numéros grâce à mes potes qui l'aiment bien (malgré leur avoir expliqué cette histoire...) . Il m'a appelé 2-3 fois pour prendre des nouvelles ect... Bref très flippant.
tes potes ses ahuris
Le 15 juin 2020 à 16:07:12 TheTsubasa a écrit :
Je vis à la campagne. Maison assez isolée. Je suis sur la Switch, il est trois heures du matin.Soudain, ça frappe trois fois à la porte, assez violemment. Je sursaute comme un enculé mais me précipite à la porte, m'imaginant déjà les flics venir m'annoncer un accident (Mes parents par exemple).
J'ouvre, personne, la lumière extérieure (Détecteur de mouvement) éteinte.
J'ai sifflé mon chien (Berger allemand) et je suis sorti faire le tour avec lui. Rien.
C'était il y a deux mois, cette semaine un technicien viens pour installer une alarme. No fake.
c'était un démon 3 coups c'est une insulte a la sainte trinité
et 3h du matin si je me trompe oas c'est l'heure du démon
Toujours utile qu'on faisait une sorte de randonnée , on avait bien fait 20 kilomètres et on était en plein milieu de l'après midi
Le groupe était divisé en 2 et j'étais dans la premier qui était arrivé en premier sur une sorte de petit espace au bord d'une route "clôturé" par des arbres
Une petite clairière relativement propre, et je ramassais un grand bâton qui traînait sur le côté et que je trouvais sympathique (Les délires de gosses , grand classique)
Il y avait un tas de bois dans un coin, des bâtons semblables au miens qui était bien entassés (La pile était relativement haute) et je m'étais allongé en attendant que le 2ème groupe (qui étais partis un peu après nous) nous rejoigne, non loin de ce même tas de bois
Finalement je m'endort car l'attente est longue. A mon réveil le groupe est arrivé et tout le monde commence à repartir, et je ne sais pas trop comment , ou plutôt pourquoi, mais je décide de jeter l’espèce de "lance" que j'avait ramassé à mon arrivée. Au moment de le jeter tout droit sur le tas de bois je vois une silhouette prendre forme et qui se la prend dans le cœur, littéralement
J'étais tout seul , le groupe commençait à avancer et personne n'avait pu voir ce que j'avais vu
En chemin j'étais partagé, est ce que j'avais vraiment vu ça ? était ce un rêve? Une insolation ? C'est un souvenir qui reste profondément encré en moi, ça m'avait beaucoup marqué étant petit
Le 24 juin 2020 à 17:25:22 AAA_Robert a écrit :
Allez, une petite contribution en plus à ce topic légendaire. Pas la plus glauque, mais bon pour le topic, je pense.Il y a maintenant environ 2 ans, je me promenais dans le jardin des Tuileries, à Paris, avec ma dulcinée. C'est relativement tôt le matin, et tout est encore donc presque vide. Nous discutons sur un banc, quand soudain, depuis le surplomb longeant la Seine, un couple de joggeurs à chien (les parisiens ne connaissent que trop bien cette race) nous appelle : "Hé, vous ! Vous seriez pas secouristes ?"
Non, bien sûr. Mais nous montons. Là, il y a un homme d'environ 70 ans, allongé la face contre terre, avec encore dans sa main le bout de la laisse de son propre berger qui grogne pour défendre son maître. Les joggeurs parviennent à ramasser la laisse et à l'attacher à un arbre non-loin, pendant que nous constatons que ledit monsieur respire toujours, a perdu connaissance, et surtout a le visage maculé de sang.
Ça part en PLS + allô les pompiers.
Trafic parisien oblige (merci madame Hidalgo et la suppression des quais de Seine), les pompiers prennent plus de 40 minutes pour arriver.
Entre-temps, un autre promeneur arrivé quelques minutes après nous (et lui formé au secourisme) avait entrepris un bouche-à-bouche, le fameux monsieur ayant arrêté de respirer. Ah, et bien entendu, le couple de joggeurs à chiens en a profité pour filer avec leurs deux cabots respectifs.Les pompiers arrivent, reprennent le bouche à bouche, puis entament un massage cardiaque. Sans succès. C'est certainement un détail pour tous ceux qui travaillent dans le médical, mais je me souviens de la chemise déchirée de ce digne monsieur, et des formidables vas-et-viens de son ventre au rythme des pressions du pompier sur son thorax. Sa face avait été plus ou moins essuyée, et il avait ouvert les yeux. Le bougre s'est éteint. Paix à son âme.
La police avait eu le temps d'arriver et, décès sur la voie publique oblige, sachant que les joggeurs à chien s'étaient défilés, j'étais alors le "premier témoin" et donc convoqué au poste pour dépôt de déposition. Pour tout dire, la police soupçonnait les chiens des joggeurs d'avoir attaqué le monsieur, mais le légiste conclura simplement à un AVC hémorragique parfaitement naturel (d'où un super saignement de nez qui a en avait foutu partout).
Je me souviens de la tête du policier à la fin de notre discussion dans le jardin, alors que le cadavre était encore en plan, entouré des pompiers.
C'est bon. Merci monsieur. Vous pouvez partir maintenant.
Ah, non. Avant que les pompiers arrivent, j'ai fait un coussin avec mon manteau que j'ai mis sous la tête du monsieur. Quand ce sera possible, je récupérerai mon manteau.
Mais... Il est plein de sang, le manteau.
Et je pars pas sans mon manteau.
Sans déconner...
Il a fallu insister un peu, mais un pompier a fini par me le remettre, dans un sac en plastique. C'était un magnifique manteau Quechua random et bien usé. Mais c'était mon manteau, quoi.
90°C en machine. On ne voit presque plus les traces aujourd'hui. Seul bémol : j'avais les frères Karamazov (Dostoïevski ; à lire et relire, les caillous) dans la poche dudit manteau. J'ai pu achever le bouquin malgré les traces brunâtres, mais parfois c'était un petit peu laborieux.
La lecture du bouquin tâché de sang
Le manteau maudit :rire
Je me souviens d'une fois où j'étais avec ma toute première copine (il y a fort longtemps, appelons-la Enculotte)
On revenait d'une soirée restau assez tard et les rues étaient relativement vides. On croise un petit groupe de wesh de quartiers, et je remarque qu'ils mattent Enculotte avec un peu d'insistance. Après les avoir dépassé, j'entends un très léger "wesh va le planter"
Elle a pas l'air d'avoir remarqué, du coup je serre Enculotte un peu plus contre moi et j'active un peu le pas en restant aux aguets de ce qui se passait derrière. Au final ils ont rien fait et il s'est rien passé, mais le stress était quand même là
Il y a deux semaines a mon taf, j'ai pris un canon scié sur la tempe.
Braquage de wesh en carton, sauf qu'ils étaient armés jusqu'aux dents.
Le 25 juin 2020 à 20:55:47 WilWallaceLeGJ a écrit :
Il y a deux semaines a mon taf, j'ai pris un canon scié sur la tempe.Braquage de wesh en carton, sauf qu'ils étaient armés jusqu'aux dents.
Quel boulot ?
Le 25 juin 2020 à 20:56:47 Troglonaute14 a écrit :
Le 25 juin 2020 à 20:55:47 WilWallaceLeGJ a écrit :
Il y a deux semaines a mon taf, j'ai pris un canon scié sur la tempe.Braquage de wesh en carton, sauf qu'ils étaient armés jusqu'aux dents.
Quel boulot ?
Je travail dans l'industrie du luxe
Données du topic
- Auteur
- Kheyssuscitay--
- Date de création
- 14 juin 2019 à 22:45:32
- Nb. messages archivés
- 5211
- Nb. messages JVC
- 4906