Topic de kongstrong :

Topic du Glauque

je suis l'auteur kongstrong, mon pseudo a été banni :snif:
Toutes les dernières histoires ont des Faites entrer l'accusée qui leurs sont dédiés.

:mort: la peine maximum pour Turgay Firik :mort:

La cour d’assises de Meurthe-et-Moselle, présidée par Marie-Cécile Thouzeau est allée au-delà des réquisitions de l’avocat général. Elle a condamné hier Turgay Firik à 30 années de réclusion. Il est 20 h 15, quand le verdict tombe. Le meurtrier de Laurent Royer, est comme sidéré… Il vient d’écoper de la peine maximum encourue. Au nom de la société, Cédric Laumosne en avait réclamé 10 de moins !

Tour à tour, dans la journée, parties civiles, ministère public et défense y sont allés de leurs hypothèses. Les explications avancées par Turgay Firik n’ont pas permis, au terme de trois jours de débats, d’éclaircir les raisons qui l’ont amené à tuer de deux balles l’ex-patron nancéien de l’Epi d’Or, le 26 juillet 2011.

Pour Me Robinet, au soutien des proches de la victime, la récupération d’un dessous-de-table de 25.000 €, constitue le mobile du drame. L’accusé « n’a pas d‘affect et l’argent le fascine ». Il en est convaincu, Turgay Firik, contrairement à ses déclarations, a bien remis la somme à celui qui venait de lui céder un immeuble à Pont-à-Mousson. Et il s’est mis en tête de lui reprendre, dès après la signature de l’acte de vente. D’ailleurs, il a organisé pour ce faire, un véritable guet-apens. L’a attiré dans son entreprise d’électricité de Blénod-lès-Pont-à-Mousson avant de « l’exécuter ». « On est torturé par cette question, n’aurait-il pas prémédité la disparition de Laurent Royer ? », finit par lâcher Me François Robinet au terme d’une heure trente de plaidoirie.

« Un meurtre de rage »
L’avocat général, Cédric Laumosne, balaie l’interrogation : « Aucun élément objectif ne vient étayer la préméditation ». Il écarte également le dessous-de-table et développe son propre scénario. Laurent Royer, « homme d’affaires établi et avisé » a signé un contrat de vente plutôt juteux. Turgay Firik a tardé à réunir l’argent nécessaire à l’achat du bien. Du coup, de grosses pénalités ont considérablement alourdi la transaction. De 220.000 €, prix de départ, on est passé à 270.000. « Firik est ratissé, ses comptes sont au plus bas, son ego en prend un coup ». L’avocat général va plus loin imagine une scène au cours de laquelle, Laurent Royer annonce à l’accusé son intention de ne plus faire affaire avec lui… Le point de bascule… « Turgay Firik commet alors un meurtre de rage et de colère narcissiques. Il neutralise la victime qui s’enfuit, d’une balle dans le dos, puis l’achève d’une autre dans la tête ».

Bientôt devant la cour d’assises de Moselle
« De pures conjectures », rétorque Me Benoît. L’avocat de Turgay Firik, renvoie dos à dos les parties adverses, se range pour sa part derrière la version de son client. La victime est venue lui réclamer le dessous-de-table promis, s’est mise en colère face à l’incapacité de son acheteur à lui donner la somme promise. « Turgay Firik s’est senti humilié. Totalement débordé, il s’est laissé envahir par la peur ».

Me Benoît, dont la tache n’est pas aisée tant son client s’est enferré dans ses contradictions poursuit : « Il n’a pas géré son impulsivité. » La preuve ? S’il avait réfléchi, il n’aurait pas transporté la victime dans une brouette et dans l’enceinte de sa société alors que la nuit n’était pas tombée, insiste le conseil, au risque de se faire remarquer par ses voisins. Ce qui est bel est bien arrivé. Les gendarmes ont découvert le corps de la victime le 11 août suivant, enseveli sous 10 cm de terre, grâce au précieux témoignage d’une jeune fille.

Quinze jours auparavant, celle-ci avait assisté à cette scène hallucinante. Elle avait aussi formellement identifié le frère de Turgay Firik comme l’individu présent sur les lieux, porteur d’une pelle… Poursuivi pour avoir modifié une scène de crime, ce dernier, défendu par Me Clémence Morel, a écopé hier d’un an de prison, soit une peine couverte par sa détention provisoire.

Turgay Firik, 44 ans, lui est reparti en prison, pour de longues années. Emportant ses secrets. « Il n’est pas dans la manipulation, il est persuadé de ce qu’il avance. Par exemple, il est certain que la famille lui a pardonné », avait expliqué en début de matinée l’expert-psychiatre. Tout en relevant chez son sujet des traits de personnalité narcissiques et psychorigides.

L’homme a la personnalité trouble, n’en a pas fini avec la justice. Mis en cause dans un autre dossier de meurtre instruit à Metz, il devrait répondre de ce crime dans les prochains mois devant la cour d’assises de Moselle.

https://www.estrepublicain.fr/justice/2015/03/04/le-maximum-pour-turgay-firik?utm_source=kwanko&utm_medium=contextual%20targeting&utm_campaign=OPECO_AUTOMNE&utm_content=394571

:mort: Exécution par éléphant :mort:

L'exécution par éléphant est une méthode d’exécution consistant à utiliser un éléphant d'Asie comme instrument de torture ou de mort. Les pachydermes sont utilisés pour écraser, démembrer ou simplement torturer les prisonniers lors d'exécutions publiques. Une fois dressés, ces animaux sont considérés comme polyvalents, capables de tuer les victimes immédiatement ou de les torturer lentement afin de prolonger leur souffrance.

Utilisée depuis le ive siècle av. J.-C., la méthode était courante en Asie du Sud et du Sud-Est, et tout particulièrement en Inde. Même s’il était à l’origine circonscrit à l'Asie, ce mode d’exécution a été occasionnellement adopté par les Occidentaux, tels que les Romains et les Carthaginois, en particulier pour punir les mutineries de soldats. Cette pratique a disparu peu à peu avec la colonisation de l'Asie par les nations européennes, mais a cependant duré jusqu'au milieu du xxe siècle.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ex%C3%A9cution_par_%C3%A9l%C3%A9phant

:mort: le supplice des cent morceaux :mort:

Le lingchi (chinois simplifié : 凌迟 ; chinois traditionnel : 凌遲) était un supplice en usage en Chine, infligé dans le cadre d'une condamnation à mort pour certains crimes exceptionnels (rébellion contre l'empereur, parricide, etc.), mais aussi pour d'autres délits telle la propagation d'une religion ressentie comme perverse. Également connu sous l'appellation de supplice des « huit couteaux » ou « cent morceaux », traduit aussi parfois par « mort languissante » ou « mort des mille coupures »1, le lingchi consiste à entailler et retirer successivement, par tranches fines, des muscles et des organes du condamné avant de lui trancher la tête. L'utilisation d'opium permettait aux bourreaux de maintenir en vie le supplicié le plus longtemps possible.

Cette forme d'exécution a été pratiquée en Chine entre le début du xe siècle et 19051.

La peine du lingchi a été officiellement abolie par décret impérial le 24 avril 1905. Pour la plupart des historiens, aucun lingchi n'a été exécuté après cette date, et les premiers auteurs qui ont publié des clichés sur ce type d'exécutions (Jean-Jacques Matignon, Ferdinand Joseph Harfeld, Louis Carpeaux) indiquaient bien qu'elles dataient d'une époque révolue. L'idée que l'abolition n'aurait pas été effective repose sur une série d'erreurs ou de racontars. Par exemple, le jeu conservé au musée Nicéphore-Niépce est accompagné d'une légende qui place en 1908 l'exécution de Wang Weiqin, qui eut lieu le 31 octobre 1904. Cette même exécution est datée de 1910 par Heindl, et même de 1925 par Martin Monestier qui, dans son livre Peines de mort, confond la date de l'exécution avec celle de la parution du livre de Heindl2.

Des plaques photographiques de ce supplice, nommé « supplice chinois des Cent morceaux », ont bouleversé, fasciné et influencé Georges Bataille, qui les a découvertes grâce à son ami psychanalyste Adrien Borel, lequel lui donna un de ces clichés, dont Bataille dit qu'il « eut un rôle décisif dans [sa] vie.3 » Bataille les évoque une première fois dans son essai L'Expérience intérieure (1943), parlant d'une extase paradoxale exprimée par le supplicié : « Les cheveux dressés sur la tête, hideux, hagard, zébré de sang, beau comme une guêpe. »4 Par la suite, dans son dernier ouvrage, intitulé Les Larmes d'Éros (1961), il reproduit plusieurs de ces clichés, précisant qu'ils ont été « publiés en partie par Dumas et par Carpeaux », qui « affirme avoir été témoin du supplice, le 10 avril 1905 »5. Des doutes demeurent donc sur l'origine de ces photographies et l'identité du supplicié, comme l'a précisément montré l'historien sinologue Jérôme Bourgon6.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lingchi

:mort: Pauvre Mary :mort:

Mary l'éléphante, née en 1894 et morte le 13 septembre 1916 dans le Comté d'Unicoi (Tennessee), est une éléphante d'Asie qui appartenait et était exploitée par la compagnie américaine de cirque Sparks World Famous Shows.

Après avoir causé la mort d'un dresseur à Kingsport, elle est exécutée par pendaison à proximité d'Erwin. Sa mort est parfois interprétée comme un récit édifiant sur la maltraitance des animaux dans le monde du cirque au cours de la première moitié du xxe siècle.

Le 11 septembre 1916, un vagabond nommé Red Eldridge est engagé comme dresseur assistant d'éléphants par le Sparks World Famous Shows circus. Il est tué par Mary à Kingsport dans le comté de Sullivan, Tennessee, dans la soirée du 12 septembre. Eldridge mène le défilé des éléphants, bien qu'il ne soit pas qualifié pour ça, à cheval sur le dos de Mary, la star du spectacle et en tête de ce défilé[1].

Un moment donné, elle entre dans un accès de rage, arrache Eldridge avec sa trompe, le jette contre un stand de boisson et marche sur sa tête, la broyant[2]. Plusieurs hypothèses ont été formulées concernant cette mort.

La suite des évènements n'est pas exactement connue. Plusieurs sources indiquent que l'éléphante s'est calmée par la suite et n'a pas chargé de spectateurs, qui ont commencé à chanter, "Tuez l'éléphant ! Nous allons le tuer." Quelques minutes plus tard, le forgeron local Hench Cox tente de tuer Mary en faisant feu à cinq reprises avec peu d'effet[2]. Pendant ce temps, les maires de plusieurs cités voisines menacent de ne pas autoriser le cirque à s'installer si Mary est présente.

Le patron du cirque, Charlie Sparks, décide à contrecœur que la seule façon de résoudre rapidement la situation potentiellement ruineuse pour lui est de tuer l'éléphante en public. Le jour suivant, le 13 septembre 1916[3], Mary est transportée par chemin de fer à Unicoi County, Tennessee, où une foule de plus de 2 500 personnes (ce qui inclut la plupart des enfants de la commune) est assemblée à l'arrêt de la Clinchfield Railroad.

L'éléphante est placée sur un wagon industriel. Liée à une grue par le cou, elle est pendue entre quatre heures et cinq heures du soir[4]. Une première tentative échoue car la chaîne liant l'éléphante à la grue casse, provoquant une chute de Mary qui se fracture une hanche. Cette chute fait fuir de nombreux enfants. Bien que gravement blessée, une nouvelle pendaison est effectuée. L'éléphante est alors enterrée à côté de la voie ferrée. Un vétérinaire examine Mary après la pendaison et détermine qu'elle avait une dent fortement infectée à l'endroit précis où Red Eldridge l'avait touchée[5]. Bien que l'authenticité d'une photo de sa mort largement diffusée (et fortement retouchée) soit contestée plusieurs années plus tard par Argosy magazine[2], d'autres photos prises lors de la pendaison semblent confirmer sa provenance[6].

Elle est aussi connue sous le nom de "Murderous Mary"[7].

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Mary_(%C3%A9l%C3%A9phant)

Merci pour ces contributions, khey. L'histoire de cette éléphante est particulièrement bouleversante. :-(

Le 12 septembre 2020 à 04:03:53 zackarymarlet a écrit :
:mort: Exécution par éléphant :mort:

L'exécution par éléphant est une méthode d’exécution consistant à utiliser un éléphant d'Asie comme instrument de torture ou de mort. Les pachydermes sont utilisés pour écraser, démembrer ou simplement torturer les prisonniers lors d'exécutions publiques. Une fois dressés, ces animaux sont considérés comme polyvalents, capables de tuer les victimes immédiatement ou de les torturer lentement afin de prolonger leur souffrance.

Utilisée depuis le ive siècle av. J.-C., la méthode était courante en Asie du Sud et du Sud-Est, et tout particulièrement en Inde. Même s’il était à l’origine circonscrit à l'Asie, ce mode d’exécution a été occasionnellement adopté par les Occidentaux, tels que les Romains et les Carthaginois, en particulier pour punir les mutineries de soldats. Cette pratique a disparu peu à peu avec la colonisation de l'Asie par les nations européennes, mais a cependant duré jusqu'au milieu du xxe siècle.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ex%C3%A9cution_par_%C3%A9l%C3%A9phant

la cruauté n'a pas de limite!

c'est un plaisir de lire ce topic une fois la nuit tombée :mort:

:mort: Eva Bourseau :mort:

Fin juillet 2015 à Toulouse, deux copains ont voulu cambrioler Eva Bourseau, jeune femme de 23 ans. L'affaire menée sous stupéfiants s'est terminée par un bain de sang. Le corps de la victime a ensuite été placé dans l'acide. Le procès s'ouvre cet après-midi à Toulouse.

Au bout de l'horreur et de la défonce. Une fuite vers l'enfer où une jeune femme qui croquait son existence a perdu la vie. Eva Bourseau, de grands yeux bleus et un sourire étincelant, profitait de ses 23 ans. Elle voulait retourner à l'université, compléter sa culture déjà large, voyager encore, profiter. Ce chaud dimanche soir du 26 juillet 2015, deux garçons, alors âgés de 18 et 21 ans, ont passé sa porte rue Merly où elle vivait à Toulouse, devant le lycée Ozenne. Ils ont monté les escaliers d'un chemin sans retour.

Ces trois se connaissaient déjà, notamment à travers des nuits de fête où les pilules colorées s'avalaient comme des bonbons. Ils ont refait le monde, regardé des documentaires sur les drogues (!) et ont consommé, toujours plus. Au petit matin, à l'heure de dormir, après un premier départ, les deux garçons sont remontés au prétexte de clefs oubliées. Ils ont réclamé de l'argent et très vite, frappé, frappé encore. Un coup de pied-de-biche a fini par tuer Eva. Ils ont retourné le petit appartement, découvert l'argent liquide qu'ils convoitaient et les ecstasys qu'ils voulaient revendre. Et ils sont repartis. Dormir puis, ensuite, payer les mois de loyer en retard. Ils sont aussi revenus sous les toits de la rue Merly où, inspirés par la série «Breaking bad», ils ont essayé de dissoudre le corps de leur victime dans 27 litres d'acide chlorhydrique.

Une semaine plus tard, le corps a été retrouvé dans une malle en plastique, baignant dans un liquide caustique dans la petite salle de bains de ce studio. Très vite les enquêteurs de la police judiciaire ont repéré les traces de deux étudiants qui achetaient des bouteilles d'acide dans un supermarché toulousain. Le mercredi, 60 heures après la découverte du cadavre, un garçon s'est présenté au commissariat central. Il avait des choses à dire. Une histoire de dealer qui voulait récupérer son argent et jouait les caïds, un étudiant de 18 ans en exécuteur des basses œuvres, les arrangements nauséabonds dans le logement de la rue Merly. L'instruction a démonté ces mensonges. La mort d'Eva, simplement, terriblement, reste une simple histoire de fric, un meurtre sous acide pour récupérer de l'argent et régler des dettes.

Taha Mrani Alaoui, 25 ans et Zakariya Banouni, 22 ans, risquent la perpétuité devant la cour d'assises de la Haute-Garonne. Leur jeunesse leur épargnera, peut-être, la peine maximale mais personne ne sortira indemne des deux semaines du procès qui s'annonce. Parce que dans le box de la cour d'assises de la Haute-Garonne ne se trouvent pas deux enfants perdus. Au contraire. Ces bons élèves avaient l'ambition des grandes écoles ou de la recherche fondamentale en mathématiques. Aujourd'hui, après trois ans d'abstinence forcée, le premier valide ses unités de valeurs en mathématique quand l'autre passe une licence d'anglais. Pas vraiment habituel derrière les murs d'une maison d'arrêt. Eva, elle, ne promènera plus jamais ses yeux bleus sur les chemins de la faculté.

https://www.ladepeche.fr/article/2018/12/10/2922015-eva-bourseau-un-meurtre-sous-acide.html

Le 15 septembre 2020 à 01:52:07 Pseudo099 a écrit :
:mort: Eva Bourseau :mort:

Fin juillet 2015 à Toulouse, deux copains ont voulu cambrioler Eva Bourseau, jeune femme de 23 ans. L'affaire menée sous stupéfiants s'est terminée par un bain de sang. Le corps de la victime a ensuite été placé dans l'acide. Le procès s'ouvre cet après-midi à Toulouse.

Au bout de l'horreur et de la défonce. Une fuite vers l'enfer où une jeune femme qui croquait son existence a perdu la vie. Eva Bourseau, de grands yeux bleus et un sourire étincelant, profitait de ses 23 ans. Elle voulait retourner à l'université, compléter sa culture déjà large, voyager encore, profiter. Ce chaud dimanche soir du 26 juillet 2015, deux garçons, alors âgés de 18 et 21 ans, ont passé sa porte rue Merly où elle vivait à Toulouse, devant le lycée Ozenne. Ils ont monté les escaliers d'un chemin sans retour.

Ces trois se connaissaient déjà, notamment à travers des nuits de fête où les pilules colorées s'avalaient comme des bonbons. Ils ont refait le monde, regardé des documentaires sur les drogues (!) et ont consommé, toujours plus. Au petit matin, à l'heure de dormir, après un premier départ, les deux garçons sont remontés au prétexte de clefs oubliées. Ils ont réclamé de l'argent et très vite, frappé, frappé encore. Un coup de pied-de-biche a fini par tuer Eva. Ils ont retourné le petit appartement, découvert l'argent liquide qu'ils convoitaient et les ecstasys qu'ils voulaient revendre. Et ils sont repartis. Dormir puis, ensuite, payer les mois de loyer en retard. Ils sont aussi revenus sous les toits de la rue Merly où, inspirés par la série «Breaking bad», ils ont essayé de dissoudre le corps de leur victime dans 27 litres d'acide chlorhydrique.

Une semaine plus tard, le corps a été retrouvé dans une malle en plastique, baignant dans un liquide caustique dans la petite salle de bains de ce studio. Très vite les enquêteurs de la police judiciaire ont repéré les traces de deux étudiants qui achetaient des bouteilles d'acide dans un supermarché toulousain. Le mercredi, 60 heures après la découverte du cadavre, un garçon s'est présenté au commissariat central. Il avait des choses à dire. Une histoire de dealer qui voulait récupérer son argent et jouait les caïds, un étudiant de 18 ans en exécuteur des basses œuvres, les arrangements nauséabonds dans le logement de la rue Merly. L'instruction a démonté ces mensonges. La mort d'Eva, simplement, terriblement, reste une simple histoire de fric, un meurtre sous acide pour récupérer de l'argent et régler des dettes.

Taha Mrani Alaoui, 25 ans et Zakariya Banouni, 22 ans, risquent la perpétuité devant la cour d'assises de la Haute-Garonne. Leur jeunesse leur épargnera, peut-être, la peine maximale mais personne ne sortira indemne des deux semaines du procès qui s'annonce. Parce que dans le box de la cour d'assises de la Haute-Garonne ne se trouvent pas deux enfants perdus. Au contraire. Ces bons élèves avaient l'ambition des grandes écoles ou de la recherche fondamentale en mathématiques. Aujourd'hui, après trois ans d'abstinence forcée, le premier valide ses unités de valeurs en mathématique quand l'autre passe une licence d'anglais. Pas vraiment habituel derrière les murs d'une maison d'arrêt. Eva, elle, ne promènera plus jamais ses yeux bleus sur les chemins de la faculté.

https://www.ladepeche.fr/article/2018/12/10/2922015-eva-bourseau-un-meurtre-sous-acide.html

deja posté bébé

Le 15 septembre 2020 à 21:50:25 zeworldeu a écrit :

Le 15 septembre 2020 à 01:52:07 Pseudo099 a écrit :
:mort: Eva Bourseau :mort:

Fin juillet 2015 à Toulouse, deux copains ont voulu cambrioler Eva Bourseau, jeune femme de 23 ans. L'affaire menée sous stupéfiants s'est terminée par un bain de sang. Le corps de la victime a ensuite été placé dans l'acide. Le procès s'ouvre cet après-midi à Toulouse.

Au bout de l'horreur et de la défonce. Une fuite vers l'enfer où une jeune femme qui croquait son existence a perdu la vie. Eva Bourseau, de grands yeux bleus et un sourire étincelant, profitait de ses 23 ans. Elle voulait retourner à l'université, compléter sa culture déjà large, voyager encore, profiter. Ce chaud dimanche soir du 26 juillet 2015, deux garçons, alors âgés de 18 et 21 ans, ont passé sa porte rue Merly où elle vivait à Toulouse, devant le lycée Ozenne. Ils ont monté les escaliers d'un chemin sans retour.

Ces trois se connaissaient déjà, notamment à travers des nuits de fête où les pilules colorées s'avalaient comme des bonbons. Ils ont refait le monde, regardé des documentaires sur les drogues (!) et ont consommé, toujours plus. Au petit matin, à l'heure de dormir, après un premier départ, les deux garçons sont remontés au prétexte de clefs oubliées. Ils ont réclamé de l'argent et très vite, frappé, frappé encore. Un coup de pied-de-biche a fini par tuer Eva. Ils ont retourné le petit appartement, découvert l'argent liquide qu'ils convoitaient et les ecstasys qu'ils voulaient revendre. Et ils sont repartis. Dormir puis, ensuite, payer les mois de loyer en retard. Ils sont aussi revenus sous les toits de la rue Merly où, inspirés par la série «Breaking bad», ils ont essayé de dissoudre le corps de leur victime dans 27 litres d'acide chlorhydrique.

Une semaine plus tard, le corps a été retrouvé dans une malle en plastique, baignant dans un liquide caustique dans la petite salle de bains de ce studio. Très vite les enquêteurs de la police judiciaire ont repéré les traces de deux étudiants qui achetaient des bouteilles d'acide dans un supermarché toulousain. Le mercredi, 60 heures après la découverte du cadavre, un garçon s'est présenté au commissariat central. Il avait des choses à dire. Une histoire de dealer qui voulait récupérer son argent et jouait les caïds, un étudiant de 18 ans en exécuteur des basses œuvres, les arrangements nauséabonds dans le logement de la rue Merly. L'instruction a démonté ces mensonges. La mort d'Eva, simplement, terriblement, reste une simple histoire de fric, un meurtre sous acide pour récupérer de l'argent et régler des dettes.

Taha Mrani Alaoui, 25 ans et Zakariya Banouni, 22 ans, risquent la perpétuité devant la cour d'assises de la Haute-Garonne. Leur jeunesse leur épargnera, peut-être, la peine maximale mais personne ne sortira indemne des deux semaines du procès qui s'annonce. Parce que dans le box de la cour d'assises de la Haute-Garonne ne se trouvent pas deux enfants perdus. Au contraire. Ces bons élèves avaient l'ambition des grandes écoles ou de la recherche fondamentale en mathématiques. Aujourd'hui, après trois ans d'abstinence forcée, le premier valide ses unités de valeurs en mathématique quand l'autre passe une licence d'anglais. Pas vraiment habituel derrière les murs d'une maison d'arrêt. Eva, elle, ne promènera plus jamais ses yeux bleus sur les chemins de la faculté.

https://www.ladepeche.fr/article/2018/12/10/2922015-eva-bourseau-un-meurtre-sous-acide.html

deja posté bébé

merci pour l'info!

:mort: Enfants au volant mort au tournant :mort:

Le vol Aeroflot 593 était un vol entre l'aéroport international Cheremetievo de Moscou et l'aéroport international Kai Tak à Hong Kong. Le 23 mars 1994, l'Airbus A310 qui assurait ce vol s'est écrasé lors de la phase de croisière du vol. Les 63 passagers et 12 membres d'équipage sont morts dans l'accident1.

Aucun signe de défaillance technique n'a été trouvé. La boîte noire a révélé la présence des enfants du pilote dans le cockpit, sa fille de 12 ans et son fils de 15 ans2[réf. non conforme]. Le fils du commandant avait apparemment inconsciemment désactivé le contrôle du pilote automatique A310 des ailerons de l'avion tout en étant assis aux commandes.

Enquête et causes de l'accident
Le commandant de bord Yaroslav Kudrinsky, contre les règlements, a laissé ses enfants prendre les commandes. En premier, sa fille Yana s'est assise au siège avant gauche du pilote. Sans désactiver le pilotage automatique, le commandant a légèrement ajusté le cap. Aussitôt, l'avion a légèrement viré vers la gauche, donnant l’impression qu'elle était en train de contrôler l'avion, alors qu'elle n'avait effectivement aucun contrôle dessus. Peu de temps après Eldar, son fils de 15 ans, était à la place du pilote pendant la phase de croisière de cet avion neuf3.

Contrairement à sa sœur, l'enquête a démontré que l'adolescent de 15 ans a alors exercé suffisamment de force sur le manche de pilotage pour "outrepasser" le pilotage automatique et changer la position des ailerons, sans qu'aucune alarme ne se déclenche. Les pilotes ne s'en rendent pas tout de suite compte4,5[réf. non conforme]. Le pilote automatique va alors compenser (2.5° d'inclinaison par seconde jusqu'à atteindre 45°). À partir de ce moment l'ordinateur ne peut plus tenir, le pilote automatique se débranche et passe en manuel. Le premier à remarquer le problème est Eldar qui voit sur le plan que l'avion table vers la droite. Le copilote finit par comprendre que l'avion dérive. Le pilotage automatique essaye de maintenir l'altitude et le nez de l'avion se redresse. Le copilote braque l'avion vers la gauche pour sortir l'avion de son virage à droite mais rien ne se passe3.

Du fait de la force centrifuge, le fils du commandant est incapable de se lever pour laisser la place à son père et contrôle l'avion avec l'aide du copilote. Le commandant de bord, debout derrière son siège, est impuissant alors que l'avion s'engage dans une descente infernale. Une première alarme se déclenche et indique l’arrêt de toutes les fonctions du pilote automatique. Désormais, seul le jeune Eldar et le copilote contrôlent l'avion. Une seconde alarme se déclenche indiquant cette fois que faute d'une vitesse suffisante, l'avion est sur le point de décrocher. Le taux de descente était tel que les passagers se sont probablement retrouvés en état d’impesanteur.

Le copilote tire sur les manches, l'avion se redresse et reprend de l’altitude. Le commandant reprend alors son poste. Mais la réduction des moteurs entraine un nouveau décrochage et l'avion repart aussitôt en descente. L'équipage parvient à stabiliser l'appareil, mais il est trop tard. L'Airbus est trop proche du sol, et le percute tuant tous les passagers et membres de l'équipage6.

L’enquête démontra que les pilotes, en tentant de redresser l'avion et en tirant sur le manche de pilotage, ont aggravé la situation, alors que s'ils avaient lâché les commandes, l'appareil se serait redressé et les systèmes de sécurité auraient pris des mesures pour éviter le décrochage. Ainsi, l'avion serait revenu automatiquement à son assiette initiale, mais les pilotes l'ignoraient, à la suite de leur formation insuffisante sur Airbus A310. Ils ignoraient aussi que le pilote automatique sur Airbus A310 peut, dans un premier temps, se débrancher partiellement sans déclencher d'alarme sonore ou visuelle. Depuis lors, ces diverses lacunes ont été comblées tant par l'avionneur que par la compagnie russe dans la formation de leurs pilotes7.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_Aeroflot_593

Sur l'histoire du docteur Martinot qui a congelé sa femme decédé dans son congélateur, il y a un épisode de strip tease sur ca. Je vous met le lien, c'est glauque mais intéressant.

https://www.youtube.com/watch?v=N2tSw-KlgyA

Un immense merci pour ce topic qui est clairement l'un des meilleurs du forum (pour moi).

Dommage qu'un site ne répertorie pas ce genre de sujets comme c'était le cas dans les années 2000 (heresie.org pour les délires bien moyenâgeux). J'ai un peu de mal avec le format youtube

Et up dans la foulée.

:mort: soleyman el-halaby :mort:

À l'âge de 23 ans, Soleyman el-Halaby assassine, en Égypte, le général de l'armée française Jean-Baptiste Kléber, qui venait de remplacer Napoléon à la tête de la courte aventure de conquête de l'Égypte. El-Halaby s'est fait passer pour un mendiant pour pouvoir approcher Kléber et il lui a donné des coups de stylet.

Le dramaturge égyptien Alfred Farag (en) a écrit, en 1965, un ouvrage qui relate l'assassinat du général Kléber par Sulayman al-Halabi.

Sentence
En raison de cet acte, le conseil de guerre le condamne à mort, ainsi que ses complices, avec exécution le jour des obsèques de Kléber (17 juin). Les complices ont la tête tranchée au cimeterre avant que leurs corps ne soient brûlés sous les yeux de Soleyman. Celui-ci est condamné au supplice du pal, dont l'exécution est décrite en ces termes par Claude Desprez, un érudit du XIXe siècle :

« L'homme fut condamné, par le conseil de guerre français, à avoir les poings brûlés puis à être empalé vif. Le bourreau Barthèlemy coucha sur le ventre Soliman, tira un couteau de sa poche, lui fit au fondement une large incision, en approcha le bout de son pal et l'enfonça à coups de maillet. Puis il lia les bras et les jambes du patient, l'éleva en l'air et fixa le pal dans un trou préparé. Soliman vécut encore durant quatre heures, et il eût vécu plus si, durant l'absence de Barthèlemy un soldat ne lui eut donné à boire : à l'instant même il expira. »

Le médecin français Dominique-Jean Larrey, rapporte en 1803 :

« Le courage et le sang froid avec lequel Sulayman se laissa brûler la main droite et empaler étonnent l’homme sensible, et prouvent combien la ferme volonté de l’individu influe sur les sensations physiques. Il vécut environ quatre heures, au milieu des plus cruelles souffrances, sans faire entendre une seule plainte. La brûlure de la main s’était portée jusqu’aux os ; et le pal, après avoir dilacéré les viscères du bas-ventre, les nerfs et les vaisseaux, avait fracturé l’os sacrum, deux vertèbres lombaires, et s’était implanté dans le canal vertébral. Je me suis convaincu de ces faits par l’inspection que je fis, quelque temps après, de son cadavre, quoique déjà desséché : j’en ai déposé le squelette au muséum d’histoire naturelle. »

Le crâne et le stylet de Soleyman al-Halabi ont longtemps été exposés au Musée de l'Homme à Paris.

Le poignard qui servit à tuer Kléber est exposé au Musée des beaux-arts de Carcassonne. Il a été rapporté par son secrétaire André Peyrusse (1774-1854) et offert à la ville par son frère, le trésorier de Napoléon, Guillaume Peyrusse.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Soleyman_el-Halaby

:mort: Lapidation made in France :mort:

Un dimanche soir, le 17 octobre, Ghofrane, 23 ans, vendeuse en prêt-à-porter, a suivi un groupe de jeunes gens, depuis le centre de Marseille, où elle habite. On a retrouvé son cadavre, trois jours plus tard, sur un terrain vague. Massacrée à coups de pierres. «A la morgue, ils m'ont dit : "N'y allez pas." Mais je voulais la voir. Une catastrophe, ils ont fait, à ma fille. Un trou sur le crâne. Les dents cassées. Les mains écrasées. L'oreille taillée. Ma fille a souffert. A la morgue, je leur ai dit : "Prenez ma tête, prenez mon corps, et redonnez la vie à ma fille." Ils n'ont pas voulu.»

https://www.liberation.fr/societe/2004/11/27/ghofrane-battue-a-mort-par-jalousie_500908

Données du topic

Auteur
kongstrong
Date de création
11 janvier 2019 à 16:05:48
Nb. messages archivés
3024
Nb. messages JVC
2606
En ligne sur JvArchive 173