Topic du Glauque
Le 06 septembre 2020 à 01:42:26 Chiibrax a écrit :
Le 06 septembre 2020 à 01:35:49 zackarymarlet a écrit :
Le 28 janvier 2020 à 01:27:42 cordonsolution8 a écrit :
Vous avez déjà entendu du pont maudit ? Tout les chien qui traverse le pont et ce suicide en ce jetent dans le videEt si par miracle il ont aucunes blessure il remonte et resaute jusqu'à mourir
Ou est le pont?
Ecosse je crois, et il sautent tous au meme endroit
merci pour l'info. celui-ci?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_d%27Overtoun
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Dupont_de_Ligonn%C3%A8s
personne n'a encore évoqué cette bien triste affaire bretonne?
L'état de Louis XCVII/17 lors de son emprisonnement
"Louis-Charles est alors enfermé au secret dans une chambre obscure, sans hygiène ni secours, pendant six mois, jusqu'au 28 juillet 1794. Son état de santé se dégrade, il est rongé par la gale et surtout la tuberculose. Il vit accroupi. Sa nourriture lui est servie à travers un guichet et peu de personnes lui parlent ou lui rendent visite. Ces conditions de vie entraînent une rapide dégradation de son état de santé. L'isolement total dans lequel il est placé laisse planer un certain mystère et donne l'occasion à l'imagination populaire de soulever l'hypothèse de substitution de l'enfant et de son exfiltration, donnant naissance au « mythe évasionniste et survivantiste »
Le député Barras découvre ainsi un enfant mutique, brisé psychologiquement."
Je ne suis pas Royaliste, mais cette enfant était vraiment le martyre de la révolution...Il est mort quelque quelque mois après ce qui est écrit, sans n'avoir jamais vu revoir ses deux parents.
Le 06 septembre 2020 à 02:51:31 zackarymarlet a écrit :
Le 06 septembre 2020 à 01:42:26 Chiibrax a écrit :
Le 06 septembre 2020 à 01:35:49 zackarymarlet a écrit :
Le 28 janvier 2020 à 01:27:42 cordonsolution8 a écrit :
Vous avez déjà entendu du pont maudit ? Tout les chien qui traverse le pont et ce suicide en ce jetent dans le videEt si par miracle il ont aucunes blessure il remonte et resaute jusqu'à mourir
Ou est le pont?
Ecosse je crois, et il sautent tous au meme endroit
merci pour l'info. celui-ci?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_d%27Overtoun
Oui celui la
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Flactif
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Suzanne_Viguier
Le 06 septembre 2020 à 04:08:28 Chiibrax a écrit :
Le 06 septembre 2020 à 02:51:31 zackarymarlet a écrit :
Le 06 septembre 2020 à 01:42:26 Chiibrax a écrit :
Le 06 septembre 2020 à 01:35:49 zackarymarlet a écrit :
Le 28 janvier 2020 à 01:27:42 cordonsolution8 a écrit :
Vous avez déjà entendu du pont maudit ? Tout les chien qui traverse le pont et ce suicide en ce jetent dans le videEt si par miracle il ont aucunes blessure il remonte et resaute jusqu'à mourir
Ou est le pont?
Ecosse je crois, et il sautent tous au meme endroit
merci pour l'info. celui-ci?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_d%27OvertounOui celui la
Merci pour l'info!
La sordide histoire du "tueur à la broyeuse"
Richard Crafts, connu sous le nom de «tueur à la broyeuse» a été libéré de prison pour bonne conduite après avoir passé pratiquement 30 ans derrière les barreaux. Il avait été condamné pour le meurtre de sa femme disparue en 1986.
Il avait été condamné à la fin des années 80 à 50 ans de prison. Vingt ans avant la date officielle de sa libération, Richard Crafts a été libéré. Aujourd’hui âgé de 82 ans, il a été remis en liberté pour bonne conduite, placé dans une maison de transition et devrait être définitivement relâché au mois de juin. S’il a pu être libéré si longtemps avant la fin de sa peine, c’est parce que l’homme bénéficie d’une loi autrefois en vigueur dans le Connecticut, permettant aux prisonniers d’être relâchés des années plus tôt pour bonne conduite. Cette loi n’existe aujourd’hui plus mais les détenus condamnés avant 1994 peuvent encore y avoir droit.
Richard Crafts avait été déclaré coupable du meurtre de sa femme, Helle Crafts. Cette dernière, hôtesse de l’air originaire du Danemark, avait été vue pour la dernière fois le 7 novembre 1986. Son mari avait changé plusieurs fois de version pour expliquer sa disparition. Il avait affirmé à la police qu’elle se trouvait chez des amis sur les îles Canaries ou encore chez sa mère au Danemark. Mais l’enquête avait mis en lumière de nombreux éléments troublants, rapporte le site Patch.com. Les autorités avaient en effet découvert que l’époux avait récemment acheté un congélateur et une broyeuse à bois. Il aurait en outre assuré à son beau-frère que la police ne retrouverait jamais le corps. «Il n’y a plus rien, il a disparu», a-t-il lancé. La police avait alors établi que le suspect avait tué sa femme, congelé son corps avant d’essayer de le faire disparaître dans la broyeuse achetée précédemment. Des restes du cadavre, dont des os et des dents – ainsi qu’une enveloppe sur lequel était écrit son nom – avaient été trouvés plus tard dispersés près d’un point en acier.
Richard Crafts avait été arrêté en 1987. Un premier procès avait eu lieu mais avait été annulé faute d’éléments suffisants contre lui. Il avait finalement été condamné trois ans plus tard. Le site Oxygen.com rappelle qu’il fut la première personne dans l’histoire du Connecticut à être déclaré coupable alors qu’aucun corps n’avait été retrouvé. Il a d’ailleurs toujours clamé son innocence. Ce crime est si connu aux Etats-Unis que plusieurs programmes, dont l’émission «Forensic Files» l’ont évoqué dans des épisodes. L’affaire a également inspiré le film «Fargo» en 1996, récompensé aux Oscars.
https://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers/La-sordide-histoire-du-tueur-a-la-broyeuse-1672048
En ce moment même
"Je bois à votre santé une dernière fois" : Alain Cocq a commencé à se laisser mourir cette nuit
Le quinquagénaire, inlassable militant pour le droit de mourir dans la dignité, a annoncé en direct sur Facebook, dans la nuit de vendredi à samedi, avoir cessé tout traitement. Il a pris son dernier repas, son dernier verre d'eau et ne compte plus s'alimenter ni s'hydrater.
“Je bois à votre santé une dernière fois. Le chemin de la délivrance commence et, croyez-moi, j’en suis heureux.” Alain Cocq, 57 ans, a annoncé dans la nuit de vendredi à samedi en direct sur Facebook, comme il l’avait promis, avoir cessé de s’alimenter et de s’hydrater. “Je viens de finir mon dernier repas.” Le quinquagénaire entend donc se laisser mourir sur son lit médicalisé, installé à son domicile situé à Dijon.
Atteint d'une maladie incurable Alain Cocq a pris cette décision après avoir demandé à Emmanuel Macron le droit de mourir par prescription de sédatifs. Et avoir essuyé un refus de la part du président de la République.
“Je sais que les jours qui m’attendent vont être très difficiles. Surtout avec la chaleur qui s’annonce [...] Mais j’ai pris ma décision et je suis serein [...] Vu mon état de santé ça devrait être rapide. C’est ce que je souhaite, je ne suis pas maso non plus.”
“Ainsi va la vie, au revoir”
L’inlassable militant pour le droit de mourir dans la dignité ne devrait plus reprendre la parole face caméra ou alors de manière très brève. “Ainsi va la vie, au revoir.”
Selon Le Figaro, c'est à l'âge de 23 ans, qu'Alain a découvert qu'il souffrait d'une "ischémie", un "arrêt ou insuffisance de la circulation du sang dans un tissu ou un organe". Une maladie extrêmement rare. Les médecins ne lui donnaient que quelques semaines à vivre. C’était il y a trente-quatre ans.
Le 06 septembre 2020 à 03:32:43 zackarymarlet a écrit :
https://www.society-magazine.fr/il-etait-retrouve-cetait-fini/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Dupont_de_Ligonn%C3%A8s
personne n'a encore évoqué cette bien triste affaire bretonne?
Pour l'affaire Dupont de Ligonnès, je ne sais pas trop si elle rentre dans le cadre de ce topic. Mais pour ceux que ça intéresse, l'affaire est très documentée. Les deux numéros de Society sont excellents, avec plein de nouveaux détails, notamment sur la secte de la mère du tueur présumé. (détails qui pour le coup vaudraient d'être publiés ici...).
Le 06 septembre 2020 à 08:29:35 Foi_Jaune a écrit :
Le 06 septembre 2020 à 03:32:43 zackarymarlet a écrit :
https://www.society-magazine.fr/il-etait-retrouve-cetait-fini/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Dupont_de_Ligonn%C3%A8s
personne n'a encore évoqué cette bien triste affaire bretonne?Pour l'affaire Dupont de Ligonnès, je ne sais pas trop si elle rentre dans le cadre de ce topic. Mais pour ceux que ça intéresse, l'affaire est très documentée. Les deux numéros de Society sont excellents, avec plein de nouveaux détails, notamment sur la secte de la mère du tueur présumé. (détails qui pour le coup vaudraient d'être publiés ici...).
ah ok
Un puzzle macabre
Le corps de Dominique Ortiz est devenu un «puzzle macabre»
Il aimerait «retrouver l’envie de vivre», mais des lourdeurs administratives l’en empêchent. Depuis plusieurs semaines, il se bat pour réunir les restes de sa fille, disséminés par la justice entre les parquets d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) et de Draguignan (Var), afin de pouvoir les inhumer. En vain. En début de semaine dernière, son avocat et lui se sont rendus dans un lieu funéraire de Marseille. «Nous nous sommes présentés au cimetière, on nous a dit: "désolé, on ne prend pas les morceaux", explique Victor Gioia, l’avocat de la famille. C’est un puzzle macabre.»
Il croyait pourtant avoir tout vu, Manuel Ortiz. Sa fille unique Dominique, dit «Domie», a 22 ans lorsqu’elle disparaît sans laisser de traces dans la nuit du 24 au 25 mars 2001. Elle vivait avec son père à Allauch (Bouches-du-Rhône), et l’aidait au centre équestre qu’il gérait. Pendant six ans, Manuel Ortiz va tout faire pour la retrouver, surmontant ses dépressions chroniques pour multiplier les recherches. Il bat les sentiers, crée une association, organise des manifestations, monte à Paris.
Mais personne ne sait où est «Domie», personne n’a de nouvelles. Jusqu'aux révélations de Béatrice Frustieri devant la cour d'assises du Var, en novembre 2007. Frustieri comparaît avec son ex-amant, Jean-Claude Douliery, pour le meurtre de son mari, Jean-Pierre Faure, tué en 2005 à Sanary.
Une bague en or en forme de goutte d'eau
Béatrice Frustieri explique que le cadavre de son mari a été jeté de la falaise Cap Canaille, près de Cassis. Les gendarmes de la brigade de recherches d'Aubagne s’y pressent et découvrent les ossements de Faure, mais aussi ceux d’un deuxième corps. Manuel Ortiz reconnaît une bague en or en forme de goutte d'eau. Celle de «Domie». Les analyses vont confirmer qu’il s’agit bien de la jeune femme. «Dominique a été jetée avec un ballot de vêtements», explique l'avocat de la famille.
Jetée par Jean-Claude Douliery? Cet homme à femmes était le compagnon de Dominique au moment du drame, elle était enceinte de lui. «Il faut respecter la présomption d’innocence, explique Victor Gioia. L’instruction est quasiment terminée, on attend le renvoi devant la cour d’assises.» Dans le procès Faure, Douliery a écopé de 30 ans de prison et fait appel.
Les restes disséminés par la justice
A la découverte des ossements de sa fille, Manuel Ortiz est effondré. Mais il est enfin fixé sur le sort de Dominique. Reste le chagrin. Et la colère devant ce corps éparpillé à cause des deux instructions (Faure et Ortiz) entremêlées sur deux départements... «Il n’y a pas d’institution chargée de réunir la dépouille, séparée sur deux parquets, explique Victor Gioia. C’est indigne et dégradant. On doit respecter et enterrer dignement nos citoyens. Là, ce sont des morceaux de corps humain qui se déplacent dans des sacs en plastique. Dans un carton, la boîte cranienne, dans un autre les tibias... En plus, c’est à la partie civile de se débrouiller pour retrouver tous les scellés constituant le corps de Dominique.»
S’il ne blâme pas «le personnel judiciaire, du juge d’instruction de Marseille au greffier, qui a toujours été très humain», l'avocat s’en prend à «cette administration froide, alors qu’on nous dit depuis des mois que la victime est désormais au centre de la justice.»
https://www.20minutes.fr/france/311815-20090317-corps-dominique-ortiz-devenu-puzzle-macabre
Le 14 janvier 2019 à 16:44:32 kongstrong a écrit :
Le massacre de jonestownUn suicide collectif et un massacre. Le 18 novembre 1978 Jim Jones -de son vrai nom James Warren Jones- organise le suicide collectif au cyanure de sa communauté, Jonestown, installée au Guyana (ancienne Guyane britannique). Révérend protestant (de «l'Église chrétienne des disciples du Christ»), il devient le gourou d'une secte appelée le «Temple du Peuple», installée d'abord à Indianapolis puis à San Francisco en Californie. Au total ce sont 914 personnes dont 276 enfants qui trouvent la mort ce jour-là. Jim Jones meurt d'une balle dans la tête.
DEATH TAPE :
Une cassette de 44 minutes, appelée "Death tape", enregistre une partie de la réunion entre Jim jones qui annonce a ses adeptes de devoir quitter ce monde. Avant la réunion, les assistants ont préparé une grande cuve en métal contenant du valium , de l'hydrate de chloral , du cyanure.
On peux entendre des enfants et des gens agoniser, pleurant sous l'effet du poison.https://www.youtube.com/watch?v=CMrFCwYAZxE
( ATTENTION : pour voir les images de ce suicide collectif, tapez "Jonestown Death" sur google images, ce n'est pas gore je vous rassure, mais j'ai peur de me faire 410. )
Les amants diaboliques avaient touché trop vite l'héritage
Il est 1 heure du matin, ce 11 mai 1995, quand le 2e régiment étranger parachutiste, en manoeuvre à Calvi (Haute-Corse), prévient la gendarmerie d'un accident de la route. Une Nissan vient de basculer d'une falaise. Marc Van Beers, fiscaliste bruxellois, un peu yuppie, un peu bon vivant, vient de mourir. Il avait 36 ans. Sur les lieux, Aurore Martin, dix ans de moins, est indemne, ou presque. Aux gendarmes, la jeune femme explique que le couple s'était marié trois mois plus tôt, qu'ils étaient en voyage de noce, qu'elle s'est éjectée de la voiture avant la chute, puis qu'elle a descendu les 140 mètres de falaise à la recherche de son époux, avant de l'extirper de la Nissan et de le plonger dans la mer, «pour le laver».
Pour les gendarmes, la chose est entendue. Qu'importe si, à cet endroit, il n'y a jamais eu d'accidents, sauf pour des histoires d'escroquerie à l'assurance. Ils classent l'affaire. Mais, à Bruxelles, la famille de Marc Van Beers a de sérieux doutes. La mère de Marc, surtout, ne comprend pas l'empressement de sa belle-fille à vouloir incinérer son fils. Finalement, la famille garde le corps et porte plainte. Le juge Vandermeersch commence alors à instruire ce qui va devenir un des plus grands faits divers belges des années 90: l'affaire des amants diaboliques. Avec du sang, de l'amour, et de l'argent. Mais pas de preuve matérielle.
Amoureux de la belle vie. Elle, c'est donc Aurore Martin, une jolie blonde élancée, «incroyablement snob» selon ses amis. Lui, c'est Uwe Schmitt, un ancien sous-officier rattaché au QG de l'Otan en Belgique. Il est né en 1970, en Allemagne; Aurore Martin, un an plus tôt en Belgique. Son truc à Uwe Schmitt, c'est les belles décapotables, par tous les temps. Aurore Martin, elle, en pince pour la belle vie. Une chose rapproche encore les amants: les deux ont réchappé à un accident de la route, avec, à chaque fois, la perte de leur conjoint. Mais, quand démarre l'enquête, la justice ignore encore ces détails. Puis, les choses avancent lentement. D'abord, il y a l'autopsie pratiquée sur Marc Van Beers. Le légiste est formel: les blessures de l'accident sont post mortem. Marc Van Beers est mort pour une autre raison, avant. Roué de coups, sans doute. Ensuite, il y a l'expertise automobile. Même assurance: la Nissan a été poussée avant de dévaler la falaise. Enfin, il y a l'attitude d'Aurore Martin, à son retour en Belgique, juste après les faits. Elle s'empresse de vendre la maison de Marc Van Beers et d'encaisser les sept assurances vie contractées par l'époux défunt. Au total, la belle empoche près de 3,8 millions de francs et s'envole pour la Floride. Pour les policiers, tout ça commence à faire beaucoup. D'autant qu'ils s'aperçoivent que l'un des contrats d'assurance vie est un faux: il a été signé, au nom de Van Beers, par Aurore Martin elle-même. Et qu'un autre stipule que la prime est doublée en cas d'accident. Trouble, tout ça, mais ténu.
La belle-mère accuse. Puis, c'est le basculement quand, deux ans plus loin, un détective privé approche les enquêteurs. L'homme dit avoir un témoignage à leur fournir. Du sérieux: celui de l'épouse du père d'Aurore Martin, sa belle-mère. Ses souvenirs remontent à quelques jours après l'accident de Calvi, quand Aurore Martin se reposait dans un hôpital. Extraits (1): «Aurore était heureuse, elle riait. (") Elle m'a dit: "Je suis riche. ("). Il est bien mort, il n'y a pas de preuves, ils ne me trouveront jamais. Tout était prévu. C'est le crime parfait.» Mieux, ce jour-là, Aurore aurait tout avoué, par le menu, à sa belle-mère. Qu'il y avait son amant dans le coup, Uwe Schmitt. Qu'«Aurore s'était inscrite dans une agence matrimoniale et qu'elle avait choisi Marc Van Beers parce qu'il avait tout du gogo». Que, pendant qu'Aurore vivait avec Marc, «elle limitait ses contacts avec Uwe». Et, surtout, elle lui dévoile le modus operandi du crime: Uwe se trouvait en Corse avec «trois amis allemands». Le jour J, la petite bande s'est mise en travers de la route, a tabassé Van Beers et, enfin, a «poussé la voiture dans le ravin. Ensuite, Aurore est descendue avec Uwe pour se blesser elle-même et rendre tout cela plus réaliste ("). Elle était une alpiniste chevronnée».
Ce n'est pas tout. Voilà que la belle-mère d'Aurore Martin apprend aux enquêteurs qu'Uwe Schmitt avait perdu, en 1992, Ursula Deschamps, son amie du moment, dans des conditions similaires. Les policiers enquêtent et, cette fois, ils n'ont plus de doutes.
D'autant qu'un nouveau témoignage vient les conforter. Un ami du couple Schmitt-Martin vient leur raconter ce qu'Uwe lui aurait dit à propos du premier accident: «Il admit qu'il avait tuée Ursula Deschamps et me répéta qu'il avait obtenu de l'argent [environ un million d'assurance vie, ndlr]. Il m'affirma que c'était facile. (") Il me raconta qu'il avait précipité la voiture dans un canal et qu'il s'était arrangé pour sauter. Sa femme était parvenue, elle aussi, à s'extraire de la voiture. Il m'a dit qu'il lui avait alors enfoncé la tête sous l'eau. (") Et qu'après, il arrêta une voiture pour demander de l'assistance. Et simula sa peine en frottant ses yeux à l'aide de bonbons Fisherman's Friend [bonbons fortement mentholés]. Ses yeux devinrent rouges.» L'ami ajoute un détail: selon lui, Uwe et Aurore se sont rencontrés dans un club d'escalade, vers 1991. Avant l'accident d'Ursula Deschamps. Et c'est ainsi qu'en décembre 1997, le juge Vandermeersch envoie sa demande d'extradition aux Etats-Unis, où le couple s'est réfugié. Dès leur retour forcé en Belgique, fin 1998, ils sont inculpés pour meurtre et complicité. Et incarcérés. Puisque tout les accuse.
Manque de preuves matérielles. Seulement, depuis l'arrestation des amants diaboliques et deux ans de recoupements, du côté policier, on avoue que, si «la tartine est pliée, ça sera tangent jusqu'au bout». Car les preuves directes de leur implication manquent. Surtout pour Uwe Schmitt. Impossible, par exemple, de retrouver sa trace en Corse au moment de la mort de Marc Van Beers. Aucune réservation d'hôtel, aucun témoin, rien. Impossible, aussi, de mettre la main sur ses trois présumés complices, ses «amis allemands». Difficile, encore, de dater avec exactitude le début de sa relation avec Aurore Martin. Sans compter que les principaux témoignages qui accablent le couple sont, sur différents détails, assez peu fiables. Et que les avocats de Schmitt, qui contestent tout, ou presque, ont obtenu de la Cour de cassation belge que la mort d'Ursula Deschamps, déjà jugée en 1994 comme un banal accident de la route, ne soit pas rejugée.
Mais, du côté de l'accusation, on ne se démonte pas. Et on argue du faisceau de preuves: l'autopsie du corps de Marc van Beers, les contrats d'assurance vie, la similitude des deux accidents, l'incapacité pour Uwe Schmitt de dire où il était en mai 1995 et le fait qu'Aurore Martin n'aurait pas réussi à réitérer son éjection de la voiture lors de la reconstitution. Et puis ça, aussi, selon une source proche de l'enquête: «Devant le juge, l'une ne dit rien, l'autre parle beaucoup pour ne rien dire. Leur non-collaboration est éloquente. A des questions qui pourraient les disculper, ils ne répondent pas.» Après d'ultimes vérifications en Corse fin octobre, le juge, lui, est sur le point de boucler l'instruction. Et, déjà, trois producteurs hollywoodiens sont venus à Bruxelles faire le tour des popotes. Un scénariste dans leurs bagages.
https://www.youtube.com/watch?v=dBaXBkQUqUE
Le 09 septembre 2020 à 07:15:10 simiesque a écrit :
Ce topic
100 pages
Fêtons la page 100 avec une histoire d'animal tout mignon
En Russie, dans le Daghestan, une femme a été placée sous anesthésie générale alors qu'un serpent de plus de 1,20 mètre de longueur s'est introduit dans sa bouche pendant son sommeil.
C'est en se réveillant que la jeune femme, qui ne s'était pas rendu compte qu'elle avait avalé le reptile, ne s'est pas sentie bien et a décidé de se rendre aux urgences. Sur la vidéo de l'opération partagée par le Daily Mail, on entend les médecins se demander ce qui a bien pu s'introduire dans l'organisme de la patiente.
Quelques secondes plus tard, après avoir introduit une sonde dans la gorge de la jeune femme, l'équipe médicale a extirpé le long reptile, non sans une pointe de dégoût, comme l'atteste la mine déconfite de l'une des médecins.
Un incident qui n'est pas isolé, alors que les locaux les plus âgés conseillent souvent aux plus jeunes de ne pas dormir dehors à cause du risque qu'un serpent s'introduise dans leur bouche.
Roh qu'il est choupi
Le 09 septembre 2020 à 17:08:57 otohime a écrit :
Fêtons la page 100 avec une histoire d'animal tout mignonEn Russie, dans le Daghestan, une femme a été placée sous anesthésie générale alors qu'un serpent de plus de 1,20 mètre de longueur s'est introduit dans sa bouche pendant son sommeil.
C'est en se réveillant que la jeune femme, qui ne s'était pas rendu compte qu'elle avait avalé le reptile, ne s'est pas sentie bien et a décidé de se rendre aux urgences. Sur la vidéo de l'opération partagée par le Daily Mail, on entend les médecins se demander ce qui a bien pu s'introduire dans l'organisme de la patiente.
Quelques secondes plus tard, après avoir introduit une sonde dans la gorge de la jeune femme, l'équipe médicale a extirpé le long reptile, non sans une pointe de dégoût, comme l'atteste la mine déconfite de l'une des médecins.
Un incident qui n'est pas isolé, alors que les locaux les plus âgés conseillent souvent aux plus jeunes de ne pas dormir dehors à cause du risque qu'un serpent s'introduise dans leur bouche.
Roh qu'il est choupi
Vidéo dans la source pour les kheys les plus solides.
Données du topic
- Auteur
- kongstrong
- Date de création
- 11 janvier 2019 à 16:05:48
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